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Date de création : 13.06.2011
Dernière mise à jour :
26.11.2025
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Les sapins roses
Je m’appelle Noël, je suis un petit sapin.
Je suis né là. Oui, là où je suis. Je n’ai jamais bougé d’ici.
Il parait que l’on ne marche pas, nous, les sapins. Que l’on reste toute sa vie au même endroit, et que plus on grandit, plus on a une jolie vue et qu’au bout d’un moment, on arrive à toucher les nuages et à se cacher dedans.
Et après, quand on est très vieux, on est tellement grand, qu’on arrive à se servir des nuages pour s’en faire une écharpe bien chaude et que notre tête arrive à sortir du bandeau des nuages et que là-haut, il fait toujours beau, le ciel est toujours bleu et le soleil nous caresse le haut du crâne.
Ce sont les vieux sapins qui sont derrière moi qui me l’ont dit.
J’ai deux copains aussi, Ernest et Jojo, ils sont juste nés là, eux-aussi.
Ernest, c’est l’aîné et Jojo il a 50 centimètres de moins que moi, c’est donc le plus jeune.
Les vieux, ils me disent qu’ils ont bien connu mon père. Moi, je ne m’en rappelle pas.
Ils disent que de toute la forêt, c’était lui le plus beau, le plus majestueux. Il paraît qu’il n’était pas grand, mais que ses branches étaient longues et recouvertes d’aiguilles soyeuses. Il avait une belle couleur verte qui tirait sur l’émeraude, et que tous les autres sapins en étaient jaloux.
Ernest mon copain, il m’a dit que d’autres sapins lui avaient raconté, qu’un jour...
Ernest : C’était l’hiver, car les sapins avaient les pieds dans la neige jusqu’au cou. Un jour, d’autres sapins sont venus, ils ont montré ton père avec une de leur branche, et ils sont partis avec, comme ça.
Noël : Et alors...
Ernest : Et bien ton père, on ne l’a plus jamais revu.
Noël : Tu dis n’importe quoi. Eh, Monsieur je sais tout, tu pourrais peut être me dire comment un sapin peut se déplacer, puisqu’on ne peut pas marcher, hein ?
Ernest : Mais parce que les sapins qui ont pris ton père, ce sont des sapins mobiles, sans aiguille, avec seulement deux branches, et que quand il fait froid, ils mettent des bouts de tissus sur eux, et que quand il fait chaud, ils les enlèvent et qu’ils sont tout rose.
Pffeu.... Ernest, il faut toujours qu’il fasse son malin et qu’il invente des trucs pas possible, et il croit que nous, les plus jeunes, on va le croire.
Jusqu’au jour où Jojo, il me dit :
- « Un jour, j’ai vu moi aussi un sapin rose entrer dans cette drôle de forêt qui est devant nous. »
Noël : Moi, j’ai rien vu !
Jojo : Tu devais dormir à ce moment-là.
C’est vrai qu’elle est bizarre cette forêt, là devant. Elle est carrée, oui, toute carrée avec des feuilles rouges, mais que sur le dessus. Les arbres de cette forêt, on dirait des arbres en pierre.
Quand il y a du vent, je ne la vois jamais frémir, alors que moi, quand le vent souffle, un coup je pars à gauche, un coup je pars à droite.
Au-dessus des feuilles rouges, y a une sorte d’oiseau qui est posé dessus.
Un oiseau que j’ai jamais vu se poser sur mes branches.
De temps en temps, et bien l’oiseau, il bouge. Il ouvre son bec et il en sort comme une sorte de fumée.
Noël : Ce soir, je vais regarder ça de plus près. Quand il fait noir, on voit les choses sous un autre angle !
Cette nuit-là, alors que tous les grands sapins sommeillaient et qu’Ernest et Jojo, eux, dormaient à aiguilles fermées, Noël se mit à observer cette forêt si étrange.
L’oiseau était là, il ouvrait le bec et la fumée sortait de son bec.
Jusqu’ici, rien d’anormal.
Dans la forêt, il y avait du bruit. Noël tendit l’oreille et observa.
Par une petite trouée, toute carrée elle-aussi, il vit à l’intérieur de la forêt pierre, des petits sapins roses qui riaient et dansaient autour d’un sapin vert.
Oui, un sapin comme lui, tout vert, tout plein d’aiguilles, avec de larges branches.
Les sapins roses lui mettaient quelque chose sur la tête, quelque chose qui ressemblait beaucoup à ce qu’on voit dans le ciel la nuit et qui brille, mais en plus gros.
Mais hélas, du haut de ses un mètre, il n’arrivait pas à voir autre chose.
Le lendemain, Noël décida d’observer de nouveau la forêt pierre.
Il l’observa toute la journée mais rien de nouveau n’attira son attention.
La nuit venue, il décida de rester éveillé encore une fois.
Il voulait en savoir plus.
Ce qu’il vit, ce soir-là ? Rien de plus que la veille.
Hélas, il n’avait pas assez grandi pendant la journée.
Il eut juste l’impression que le sapin vert était devenu plus lumineux et qu’on aurait dit qu’un coup il faisait nuit dans la forêt et qu’un coup, il faisait jour.
Le lendemain, Noël, qui n’avait pas dormi depuis deux jours, tombait de sommeil et n’eut pas le temps de voir quoi que ce soit. Ses paupières devinrent de plus en plus lourdes, et notre petit Noël parti au pays des rêves.
Quelques années plus tard, Noël, Jojo et Ernest avaient bien grandi.
Les vieux sapins, eux, s’étaient tassés, leurs troncs étaient de plus en plusvoûtés.
Gaspard, le doyen, ne savait plus ce qu’il disait, de plus il était devenu sourd comme un pot.
Barnabé, son compère de toujours, lui répétait sans arrêt les choses et on le voyait agacé et triste à la fois.
Un jour, on a discuté avec Barnabé.
On lui a demandé si l’histoire de mon père était vraie.
Barnabé : Ton père, ah qu’il était beau. Tu lui ressembles tu sais !
Jojo : Ernest il dit que des sapins roses sont venus enlever son père !
Gaspard : C’était quand déjà Barnabé ? En 1912 ou 1913, non ?
Barnabé : Gaspard, en 1913, c’est ta date de naissance. C’est dans les années 90 que ça a dû se passer enfin !
Gaspard : Ah ?
Noël : Alors c’est vrai, mon père a été enlevé ?
Barnabé : Et oui mon petit. Et après, il n’est jamais revenu ton papa.
Ernest : Ah tu vois que j’avais raison Jojo ! Je sais bien ce que j’ai entendu.
Noël : Mais pourquoi l’ont-ils enlevé ?
Barnabé : Ah ça mon petit je n’en sais rien. Mais en tous cas, avant de disparaître, on l’a vu un moment là-bas, dans la maison des hommes.
Jojo : C’est quoi une maison ?
Ernest : C’est quoi un homme ?
Gaspard éclate de rire. « Ils demandent ce que c’est qu’une maison et ce que c’est qu’un homme ! Ah, ah, ah, Barnabé, rien entendu de si drôle depuis des années. »
Barnabé : Ça tu vois, Gaspard, c’est l’EDUCATION. Ces petits n’ont jamais eu la moindre EDUCATION, et ils ne savent même pas ce que sont les hommes et les maisons.
Noël montre alors la forêt pierre au feuillage rouge aux anciens et dit : « Ça c’est un homme ? »
Barnabé : Ça un homme ? Eh Gaspard, le petit demande si ça c’est un homme ?
Gaspard : Ça ? Ah, ah, ah, ça un homme !
Ce gamin me fera casser mes vieilles branches de rire.
Mais enfin, mon petit gars, ça, c’est une BRAISON.
« Une braison ? » disent ensemble les trois amis.
Barnabé : Pas une Braison, une MAISON. Et certes pas une forêt pierre. Ce que tu appelles les feuillages rouges, ce sont des tuiles, et ça devant, on dirait une petite trouée, ça, ça s’appelle une fenêtre.
Noël : Et l’oiseau là-haut qui crache de la fumée ?
Gaspard : Une MACHINEE.
Barnabé : Une cheminée. Dit-il en soupirant.
Jojo : Et alors, les hommes, c’est quoi ?
Barnabé : Il faut vraiment tout leur apprendre à ces morveux. Les hommes, je suppose c’est que ce que vous appelez les sapins roses. Pffeu, les sapins roses.
Et c’est ainsi, que les trois amis apprirent, jour après jour, l’histoire des hommes et de leurs coutumes.
Les jeunes sapins n’en croyaient pas leurs aiguilles, leur écorce frissonnait à chaque nouveau récit, conté avec brio par le duo de choc Gaspard et Barnabé.
Les années passèrent.
Un soir d’hiver où Noël n’arrivait pas à trouver le sommeil, transi de froid, il fut attiré par un clignotement curieux à l’intérieur de la maison des hommes.
Noël : Eh ! Mais, mais, bons sang de bonsoir, j’arrive à voir maintenant. Oui, j’arrive à voir ce qu’il y a à l’intérieur ! Je me suis pas vu grandir, mince alors !
Par la petite fenêtre, il vit un sapin d’un beau vert tirant sur l’émeraude, aux aiguilles touffues, aux branches majestueuses, avec une étoile sur la tête ; oui, il avait appris que ce qu’il voyait la nuit dans le ciel, étaient des étoiles ; ce magnifique sapin était aussi orné de vêtements splendides qui s’allumaient et s’éteignaient, de boules multicolores qui scintillaient. Il avait un air heureux et fier.
Noël se rappela alors ce que le vieux Barnabé lui avait raconté sur son père. Qu’avant de disparaître il avait séjourné chez les hommes, là, dans leur maison.
Il réveilla Jojo et Ernest et leur dit :
-« Regardez, mon père était là, lui aussi, à la place de ce sapin ! Et il était heureux d’être là, il l’avait voulu, on ne l’a pas enlevé, c’est lui qui a demandé aux humains de le prendre. Pour être là, dans leur maison, avec des habits merveilleux et des milliers de lumières braquées sur lui ! ».
Jojo : Tu crois ?
Noël : J’en suis certain.
Ernest : Mais pourquoi il n’est jamais revenu ton père ?
Noël : Parce que chez les humains, il était bien. Ça doit être merveilleux de vivre avec eux.
Ernest : Bof, j’en sais rien. J’ai sommeil. Bonne nuit, à demain.
Jojo : Ouais, bonne nuit Noël.
Et Noël regarda encore un moment ce sapin extraordinaire et finit par s’endormir.
Ses rêves furent nombreux.
Il rêva qu’il était à la place de ce beau sapin, que les autres sapins étaient époustouflés et impressionnés par sa beauté, ses beaux atours.
Il était le roi des forêts.
Les hommes dansaient autour de lui, déposaient des cadeaux à ses pieds, le bichonnaient, il avait chaud dans leur maison.
Quand Noël se réveilla, il ne pensait qu’à une chose : partir vivre chez les hommes.
Il n’eut pas à attendre longtemps.
Quelques jours après, au réveil, il sentit comme un chatouillement sur ses branchages.
Surpris, il ouvrit un œil, et oh, mon Dieu, un homme, oui un homme était là, devant lui.
Il était en train de lui enlever la neige qui l’avait recouvert pendant la nuit.
A côté de l’homme, il y avait un tout petit homme.
« Papa, c’est lui le plus beau ! C’est lui qu’on va prendre ! »
A ce moment précis, Noël ressentit une violente douleur au niveau de ses pieds, puis se retrouva couché sur le sol.
Un instant de panique l’envahit et il entendit Gaspard et Barnabé dirent :
- « C’est comme son père, comme son père ».
Puis, alors qu’il se sentait bouger, bouger, oui, vous avez bien entendu, bouger, il cria à ses amis avant de ne plus les voir :
-« Je suis un sapin et je marche, je marche les gars ! ».
Il ne marchait pas vraiment, en réalité, mais il bougeait, ça c’est sûr !
Il bougeait de manière, disons...horizontale.
En fait, il ne tenait plus debout.
Qu’à cela ne tienne, les gentils hommes lui fabriquèrent de faux pieds pour tenir droit, en bois de cèdre.
« Désolé le cèdre » pensa Noël, « mais je te trouve très beau à mes pieds ».
Puis, les hommes le posèrent dans leur maison, l’habillèrent de mille couleurs, boules, guirlandes, étoiles filantes.
Noël était aux anges.
« Il fait bon ici, je suis beau, je suis chez les hommes. »
Il regarda par la fenêtre et aperçu Jojo et Ernest. Il leur cria :
-« Eh les copains, vous avez vu un peu ? La classe non ? ».
Jojo et Ernest n’entendaient pas.
Il vit juste leurs regards tristes.
-« Eh les copains, faut pas pleurer, je suis heureux ici. Tout le monde m’admire, me complimente, c’est trop bien ! ».
Pendant un mois entier, Noël fut comblé.
Il était l’attention de toute la famille d’humains et autour de lui, il n’y avait que cris de joie et chansons.
Puis, un jour, les humains ne s’intéressèrent presque plus à Noël. Cela le rendit extrêmement triste et ses aiguilles commencèrent à tomber.
Puis, un autre jour, on lui ôta ses habits de lumière, ses pieds de cèdre, et on le sorti de la maison.
Il entendit la porte d’entrée claquer et il se retrouva là, dans la neige, allongé, immobile.
Bien qu’il ne soit pas dans le bon sens, il réussit à regarder vers la forêt et aperçu de loin ses amis.
Son cœur se serra.
Il ne se sentait pas bien du tout et se rendit compte que les heures de bonheur qu’il avait vécues auprès des hommes, et dont il avait tant rêvé, commençaient à avoir un goût bien amer.
Le lendemain, un charpentier passa par là.
Il vit Noël couché sur le sol, et s’approcha.
Le charpentier :
- « Mais dis-moi toi, tu es encore bien beau ! Tu devais être un sacré beau sapin de Noël ! »
Le charpentier le pris par le tronc et le tira dans la neige :
- « Tu sais, tu me rappelles un sapin que j’avais trouvé par là il y a quelques années. Qu’est-ce qu’il était beau ce sapin. J’en avais fait un mât pour mon bateau. J’adore naviguer sur le lac, là, à côté de la forêt. Et tu sais quoi, mon bateau à deux mâts, et l’un vient de se casser. Alors, je crois bien que je vais faire un mât de toi. ».
Et c’est ce qu’il fit.
Noël se retrouva sur un joli petit bateau tout en bois d’acajou, à côté d’un autre sapin-mât.
— Comment t’appelles-tu ? lui dit le mât ?
— Noël
— Noël ? Noël de la forêt des copeaux ?
— Oui, Noël de la forêt des copeaux.
— Ben Noël, ça c’est une surprise surprenante !
— Pourquoi tu me dis ça, heu, sapin ? Tu n’as pas un prénom, ça me gêne de t’appeler, sapin ?
— Je crois que tu vas pouvoir m’appeler : papa !
— Non, j’ai déjà un papa. Enfin, j’avais un papa. Et mon papa, un jour, il est parti chez les hommes, et...
— On ne l’a plus revu. N’est-ce pas ?
— Papa ? Ça alors, je crois qu’on a plein de choses à se raconter !
Une semaine plus tard, le charpentier gréa son bateau afin de faire un petit tour sur le lac.
Le bateau filait à vive allure et Noël avait retrouvé le sourire.
Puis, le bateau longea la rive gauche du lac, près de la forêt des copeaux.
Tout d’un coup, Noël et son père aperçurent les autres sapins.
Ils étaient tous là, les vieux, Jojo, Ernest.
Noël leur cria :
- « Eh les copains, vous allez pas le croire, non seulement j’ai marché, et ça pour un sapin c’est déjà pas croyable, mais en plus, je flotte maintenant, oui je flotte les gars.
Et en plus, vous savez quoi ? Qui est à côté de moi d’après vous ? C’EST MON PAPA, j’ai retrouvé mon Papa ! »
Oscar
Très beau conte qui cette fois , ouf , se finit bien pour le petit sapin devenu grand! Toujours dans les histoires après les fêtes, on le jette, ou on le remise dans un recoin poussiéreux où il meurt tristement! (J'utilise d'ailleurs depuis des années des faux sapins qui semblent vrais pour éviter de voir mourir un beau sapin!) !
Et là, dans ce si beau conte qui fait parler et vivre les arbres, quelle bonne idée qu'il soit réutilisé et qu'il retrouve son papa !
Brigitisis
Bonsoir Brigittetres belle histoire, c'est vrai les beaux sapins de Noel sont souvent vite oublié!!!
quand j'etais plus jeune tout le monde repiquait dans les jardins
ils y en a qui sont tres grand ete trop grand meme
cette année deux ont etait coupés, ca fait bizare quand on les as vu depuis si longtemps, ne jetez pas votre sapin!!
moi aussis je met un artificiel!!
Une bonne soiree ma douce et de gros calinous aux loulous
http://naposcar.centerblog.net
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