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Date de création : 13.06.2011
Dernière mise à jour : 26.10.2025
11918 articles


IL ETAIT DEUX FOIS FRANCK THILLIEZ

IL ETAIT DEUX FOIS  FRANCK THILLIEZ

L'auteur

 

Né en 1973 à Annecy, Franck Thilliez est un écrivain et scénariste français spécialisé dans les thrillers. Connaissant le succès grâce aux enquêtes de son commissaire Franck Sharko et de l’inspectrice Lucie Henebelle, il est l’un des auteurs du genre les plus vendus en France.

Un grand passionné de cinéma

Fils d’un père travaillant dans le câblage de téléphone et d’une mère au foyer, Franck Thilliez grandit pratiquement sans livres avec sa sœur cadette. Enfant sage et réservé, il passe son temps libre à regarder des films d’horreur, parfois en cachette, quitte à en faire des cauchemars.
Il commence véritablement à lire à partir de 12 ans, âge auquel il découvre Stephen King et Agatha Christie.

Très intéressé par les sciences et la médecine, Franck Thilliez se tourne plutôt vers l’informatique en se lançant dans des études d’ingénieur en nouvelles technologies.
Il devient par la suite informaticien dans une entreprise sidérurgique de Dunkerque.
Parallèlement, il s’essaye à l’écriture et publie en 2002 un premier roman, Conscience animale.
Il considère toutefois cette première œuvre comme une ébauche et entame directement l’écriture de son premier succès, Train d’enfer pour Ange rouge en 2004.

Encouragé par les ventes, il s’attelle à sortir un nouveau roman chaque année. En 2007, il peut enfin quitter son poste d‘informaticien pour se consacrer pleinement à l’écriture.
Depuis, il ne cesse d’attirer un public plus large et de réaliser d’excellents records de vente.
Le succès ne lui monte toutefois pas à la tête.
Refusant de déménager à Paris, Franck Thilliez vit actuellement à Mazingarbe, dans la périphérie lensoise, avec sa femme Valérie et leurs deux garçons.

 

L'histoire :

En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu'effrénée.
Jusqu'à ce jour où ses pas le mènent à l'hôtel de la Falaise... Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s'endormir avant d'être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre...
Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d'autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu'on est en réalité en 2020 et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu...

 

Critiques :

« Il était deux fois m’a littéralement bluffé ! »
François Busnel, La Grande Librairie/La P'tite Librairie

 

« Un coup de maître à en perdre tout repère. »
Sandrine Bajos, Le Parisien

 

« Franck Thilliez nous donne à voir toute l'horreur dont les hommes sont capables. Magistralement déroutant. »
Anne Martelle, Librairie Martelle, Amiens

 

« On ressort de l'expérience quelque peu ébranlé, mais épaté par le savoir-faire diabolique de l'auteur ! »
Le Figaro Littéraire

 

Epigraphes :

 

"Ce que vous avez pris pour mes œuvres
N'était que les déchets de moi-même,
Ces raclures de l'âme
Que l'homme normal n'accueille pas."

Antonin Artaud

 

"En toute chose, c'est la fin qui est essentielle."

 

Citations :

 

" — Je suis désolé, pour votre fille, dit Romuald Tanchon. J’espère de tout cœur que vous allez la retrouver.

Gabriel Moscato supportait ces phrases depuis un mois à Sagas, un creuset de treize mille habitants encastré entre les montagnes à coups de pieu par un fondateur quelconque. À tous les coins de rue, dans le moindre commerce où il fourrait les pieds. Il saturait, mais il s’efforça de hocher la tête par politesse. Ses interlocuteurs voulaient juste se montrer compatissants, après tout."

 

Trente-deux jours d’enfer, et toujours rien. Julie n’était pas rentrée, cet après-midi-là, un mois plus tôt. On avait découvert son VTT le 9 mars au matin, au lendemain de sa disparition, au bord de l’épaisse forêt de mélèzes qui s’élançait vers les hauteurs. Julie s’entraînait sur les pentes trois fois par semaine pour préparer une course à Chamonix prévue en juillet. Selon les experts, la jeune fille de dix-sept ans avait brutalement freiné dans la descente, à un endroit situé à une cinquantaine de mètres d’un parking de gravillons, dans la côte entre Sagas et Albion. Son vélo était appuyé contre un arbre, au bout des marques de freinage.

Les bergers malinois de la brigade cynophile avaient perdu sa trace au niveau du parking. Elle, la simple fille d’un gendarme et d’une infirmière à domicile. Une gamine de la montagne, amoureuse des échecs, de la nature et du cinéma, son appareil photo ou sa caméra numérique toujours au poing. Des hélicoptères, des dizaines d’agents à pied avaient scruté la forêt, les flancs abrupts, les plateaux. Des plongeurs avaient fouillé le lit de la rivière, exploré tous les obstacles, souches, troncs d’arbres, ferrailles susceptibles de retenir un corps à la dérive."

 

" Dans les affaires de disparition, la moindre anomalie pouvait faire l'objet d'une interprétation. Chaque hypothèse en appelait une autre, consommant du temps, de l'argent et des moyens humains."

"Gabriel était informé des statistiques vertigineuses liées aux disparitions. Le temps meurtrier, briseur de volonté et tueur d'espoir, même des plus robustes. Au fil des mois, des années, sa fille se résumerait peut-être à un prénom crié un jour au coeur des montagnes."

" Pense-t-on autant à son enfant, lorsqu’il est toujours là ? L’aime-t-on autant que dans l’absence ? Gabriel ne savait pas, sa vie d’avant n’existait déjà plus. Celle à venir ne serait que calvaire. Quelle que soit l’issue de leurs recherches, leurs vies seraient à jamais transformées, broyées, asséchées par trop de larmes versées. Ses yeux se fermèrent sur la tristesse des jours passés."

 

" Des impacts violents firent tout à coup chanter la tôle des voitures, les tuiles de la toiture. Les gens emmitouflés dans des peignoirs jaillissaient de leurs chambres, leurs visages ensommeillés levés vers le ciel. Des fusées noires et compactes surgissaient des ténèbres, par dizaines, pour s’écraser avec un bruit de chair broyée. Gabriel recula à l’abri de sa chambre, abasourdi, alors que son voisin en pyjama lui aboyait aux oreilles des « Vous avez vu ça ? Vous avez vu ça ? C’est l’Apocalypse ! ».
Oui, Gabriel avait vu. Bien sûr, qu’il avait vu.
Il pleuvait des oiseaux morts."

 

" À cet instant seulement il prit conscience qu’il était au rez-de-chaussée, deux étages plus bas que la veille. La porte qu’il venait de franchir permettait d’entrer et de sortir sans transiter par l’accueil, comme dans les motels. Il se précipita vers la table de chevet où reposait le gros porte-clés. Sur la boule blanche était inscrit le numéro 7.

D’accord, d’accord… Prendre le temps et réfléchir. À l’évidence, il n’était pas dans sa chambre. Il s’était endormi dans la 29 et s’était réveillé dans celle d’un inconnu. Peut-être avait-il fait une crise de somnambulisme ? Dans un état second, il avait assisté à l’incompréhensible hécatombe – un spectacle digne d’un film d’Hitchcock – puis s’était rendormi."

 

"Il déverrouilla la porte et entra dans la 29. Vide, lit fait, rideaux tirés. Ça sentait les produits d’entretien et la bombe désodorisante. Il traversa la pièce, s’approcha de la fenêtre. La falaise… En contrebas, les impacts sombres et rouges des volatiles… Il avait été pile à cette place la veille avant de s’endormir, il en avait la certitude. Il s’était assis sur le matelas, avec le registre, et avait noté scrupuleusement les identités des clients dans son carnet.
Il jeta un œil sous le lit, puis dans le tiroir de la table de chevet, au cas où la femme de ménage aurait rangé ses affaires. Où était ce fichu carnet ? Son uniforme de gendarme ? Qu’avait-on fait de ses rangers ?
Lorsqu’il fit le tour de la salle d’eau, le reflet qu’il vit dans le miroir lui fit l’effet d’une gifle.
Ce n’était pas lui."

 

" — Écoutez, la coupa-t-il, je suis le lieutenant Gabriel Moscato, un gendarme de Sagas. Je connais M. Tanchon, ma fille a travaillé dans cet établissement les deux derniers étés. Je suis venu ici hier soir, j’ai emprunté le registre des entrées et sorties, et…
— Gabriel Moscato ? Vous… Vous êtes le père de la petite qu’on n’a jamais retrouvée ?
— Toutes nos forces sont mobilisées, les recherches se poursuivent. Ça ne fait qu’un mois et on va la retrouver.
La femme secoua la tête et le regarda avec étonnement.
— Un mois ? Mais… À quelle date vous pensez être ?
Il réfléchit.
— Le 9… peut-être le 10… Oui, le 10 avril. On est le jeudi 10 avril.
— Le 10 avril ? Et de quelle année ?
— 2008.
Elle l’observa longuement, sans ciller, et parvint à répondre d’une voix qui grinça aux oreilles de Gabriel avec la dureté du diamant :
— Mais nous sommes le 6 novembre 2020. Ça fait douze ans que votre fille a disparu."

 

" -Tout me porte à penser que vous êtes atteint de ce qu'on appelle  dans le jargon une amnésie psychogène atypique. Elle est extrêmement rare, sans doute autant qu'une pluie d'étourneaux morts, et pourtant elle arrive. Elle frappe les deux mémoires dont je vous ai parlé. Comme la plupart des autres amnésies, elle épargne la mémoire procédurale, celle des mécanismes : si par exemple vous avez appris à rouler à vélo ou nager ces douze dernières années, vous n'aurez pas oublié. Je n'ai jamais été confronté à ce type d'amnésie spectaculaire, mais des cas similaires au vôtre existent."

" C'est vrai qu'en 2008, Internet n'était pas encore à ce point le centre du monde. Aujourd'hui tout passe par là, tout est interconnecté. Les téléphones, les ordinateurs, les téléviseurs. Dans les rues, vous croirez que les gens parlent seuls, mais c'est parce qu'ils portent des oreillettes reliées à leur portable. On pourrait presque dire que notre univers se résume à quatre lettres : GAFA. Google, Apple, Facebook et Amazon."

 

" Le neurologue poursuivit ses explications :
- En 2015, Naomi Jacobs, trente-deux ans, américaine, s'est réveillée un matin dans la peau d'une adolescente de quinze ans. Elle avait oublié dix-sept ans de sa vie.
- Dix-sept ans...
- Dans sa tête, elle allait encore au lycée, vivait chez ses parents... Une étude parue en septembre 2017 fait état de cinquante-trois cas examinés sur presque vingt ans au St Thomas's Hospital de Londres. Des gens qui, comme vous, ont fait l'impasse sur un pan complet de leur existence. Il n'y a pas de cause médicale, le phénomène serait purement psychologique : un moyen de fuir une insupportable réalité, un traumatisme. Quelque chose d'extrêmement violent qui, à un instant précis de votre vie, a poussé votre esprit à verrouiller les portes , pour se protéger lui-même."</p

 

" Gabriel revint vers lui, le pull serré dans sa main.
- Vous ne comprenez pas, docteur. Je suis enfermé dans un corps différent de celui que j'ai connu. Douze ans de ma vie se sont volatilisés. On me dit que ma fille n'a pas été retrouvée alors que je suis l'un des gendarmes chargés de l'enquête. Je vais crever si je reste une heure de plus dans cette chambre. Il me faut des réponses."

" A la boutique de téléphonie, il acheta le modèle le plus simple, déjà trop complexe pour lui. Le vendeur vérifia son identité et, après quelques manipulations informatiques, lui fournit un portable avec son ancien numéro, en vingt minutes à peine. Il lui expliqua le fonctionnement de l'appareil photo, du GPS...Gabriel débarquait dans une autre dimension : ces téléphones n'étaient pas loin de faire le café."

"Dans tous les domaines, Gabriel était largué. Il était un habitant de 2008 propulsé dans le futur par une machine à voyager dans le temps, avec le pire dans ses bagages. Un survivant dans l'ignorance."

 

"On nous montre jamais ce qui va bien. Côté négatif, par contre, la liste est interminable. Attentats, catastrophes naturelles à répétition, réchauffement climatique, crises sociales. Ah, et la politique, c’est de la merde."

 

"Gabriel observa cette mère, sa détresse et la lente érosion du temps qui l'entraînaient au fond de la bouteille. Gabriel avait-il été dans son état, ces dernières années ? Avait-il sombré, lui aussi, au point de rester cloîtré ? Il n'était pas rare, quand on avait tout perdu, de se perdre soi-même."

 

 

" Jeannine ôta la chaînette de sécurité et écarta le battant. Gabriel fut violemment heurté par les ravages de la vieillesse. Si les yeux de sa mère étaient restés les mêmes, elle n'était plus qu'une brindille avec des mains anormalement longues, des coudes noueux. Ses cheveux semblaient avoir blanchi d'un coup et se dressaient en touffes éparses. Elle qui avait toujours soigné son apparence, ses tenues... Elle s'appuyait sur une canne, toute voûtée.
Gabriel l'embrassa tendrement et se rendit dans la foulée aux toilettes. Il y chiala en silence, son poing écrasant ses lèvres. Il était pareil au prisonnier qui affronte la liberté après des années de réclusion, redécouvre les visages changés, un monde différent, et se rend compte que ce temps perdu entre quatre murs ne pourra jamais lui être restitué."</p

 

"D'après sa biographie, Andreas avait appris à dix ans que son grand-père, Yoram Abergel, avait été un survivant d'Auschwitz. Il avait fait partie du Sonderkommando, le commando du crématoire composé de détenus obligés de gérer à mains nues l'extermination de masse. Des Juifs qui enfermaient d'autres juifs dans les fours... Des porteurs de secrets, sans contact avec les autres prisonniers. Yoram avait réussi à prendre cinq photographies de l'abord des chambres à gaz, à les cacher et à les sortir du camp de sa libération.
Le jeune Andreas Abergel avait découvert ces souvenirs de l'horreur absolue."

 

"On dit que ce moment marqua Andreas Abergel au fer rouge, qu'il éprouva l'atrocité humaine à travers une sorte d'héritage spirituel, le traumatisme des milliers de victimes de la Shoah. Son art lui permettait alors de projeter dans le monde une profonde souffrance intérieure."

 

"Savez-vous qu’il existe environ cent quarante façons de mourir ? Certaines sont spectaculaires et faciles à identifier, même pour le néophyte : noyade, strangulation, pendaison, décès par arme à feu. D’autres sont plus délicates à deviner et nécessitent l’expertise du spécialiste : infarctus, rupture d’anévrisme, embolie pulmonaire… De manière générale, le légiste parvient à mettre un nom sur la cause d’un décès, même dans les situations les plus complexes, surtout avec la puissance de la science d’aujourd’hui. Cependant, on dénombre encore ce qu’on appelle des autopsies blanches. À défaut d’une conclusion tranchée, le seul rapport qu’est capable de fournir le médecin légiste, c’est un diagnostic d’exclusion : la victime n’est pas morte de ceci ni de cela. Mais jamais personne n’accédera à la vérité. C’était le cas pour cette victime."

 

" Plus loin, une citation de Kalinine : « La plastination révèle la beauté
sous la peau, figée pour l’éternité entre la mort et la décomposition. » De
nombreux articles de journaux internationaux vantant le succès des
expositions étaient encadrés. Un panneau précisait que tous les corps
provenaient de dons à la science, que les identités, âges et causes du décès
demeuraient des informations confidentielles. Comme une mise en bouche,
au milieu du couloir, sous un dôme de verre, une dizaine de cœurs étaient
présentés, du plus petit – cœur de colibri – au plus grand – cœur de baleine.
Veines bleues, artères rouges. Le voyage commençait."

 

Mon humble avis

 

507 pages difficiles à lâcher, encore un thriller qui  nous entraîne dans une histoire captivante avec des intrigues construites de façon minutieuses et rigoureuses...et qu'on a du mal à lâcher une fois les premières pages tournées...
Personnages attachants avec leurs faiblesses, leurs erreurs, leurs doutes, leurs  forces, tout ce qui fait nos vies et avec lequel il faut vivre...
La disparition d'adolescentes, le ravage du désespoir au sein d'un couple, l'amitié, l'amour d'un père, le problème de l'amnésie psychogène atypique, les palindromes, les anagrammes, la plastination, les arts poussés à l'extrême, les dons à la science, la morbidité dans l'art pictural autour de van Gogh et de le Caravage....Tous ces sujets sont comme dans chacun de ses livres extrêmement travaillés, documentés, expliqués...
Encore un livre réussi, passionnant malgré les aspects les plus sombres de la nature humaine qu'il dévoile.

 

 



Commentaires (1)

naposcar le 05/11/2020
Coucou Brigitte
c'est le dos au radiateur que je viens te faire un petit mot, il fait froid
j'ai froid mais nous avons le soleil la journée alors on vas pas ce plaindre
c'est mieux que la pluie
aujourd'hui couture toujours, j'ai fait les voilages d'une voisine, des Marie antoinette les volants etaient fait, et les embrases, voila demain elle fait sa fenêtre et les pose, elle met que des voilages comme çà et c'est toujours moi qui lui fait c'est de la bonne qualité et très chère......
j'en ai eu pour l’après midi, la je me pose pour préparer ma créât pour le weekend et répondre a mes messages et toi tu as était faire un tour avec les loulous ou c’était journée cocooning c'est bien aussi de temps en temps...
je devait allez faire des courses et aller a la pharmacie mais ce matin je me suis levée à 9heure et demie et j'avais pas le courage d'y aller, Serge voulait y aller seul mais non, il ne faudrait pas a avoir a sortir du tout, ca fait 8jours que je ne suis pas sortie, on y prendrait gout avec les temps qui court
une bonne soiree et un bon vendredi ma douce mille bisous et des calins aux loulous, prends soins de toi

http://naposcar.centerblog.net


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