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fort joli !! http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 25.11.2025
un bon froid sec et la promenade est vivifiante !! http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 25.11.2025
c est tellement joli les premieres gelees http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 25.11.2025
bonjour brigitte, je passe te faire un petit coucou avant que tu partes te faire opérer, je penserai bien à to
Par Harmony2011, le 25.11.2025
coucou bonne semaine et bon courage pour le 28
gros bisous a toutes les 2 http://lescock ersdemaryse.ce nte
Par lescockersdemaryse, le 24.11.2025
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Date de création : 13.06.2011
Dernière mise à jour :
26.11.2025
11954 articles
La vieille charrue
Rouillée de tous ses fers et privée de son soc
Se meurt dans les orties une vieille charrue
En service elle était solide comme un roc
Elle est abandonnée et loin de toute vue
Elle a pourtant creusé d’innombrables sillons
Dans le limon léger, les terres argileuses
Tirée par deux ou trois courageux percherons
Dirigée par un homme aux grosses mains calleuses
Elle tranchait le sol, bousculait les cailloux
En automne, au printemps quand venait le redoux
Elle était un outil utile, indispensable
La voici maintenant oubliée de l’humain
Avec ses souvenirs sans aucun lendemain
Adieu vieille charrue ô combien respectable.
Christian Collin
On a tous dans le coeur un souvenir de charrue d'autrefois...lié à notre enfance...et un pincement au coeur quand on en voit une abandonnée dans une vieille grange ou sur le rebord d'un sentier...
C'était une vie difficile mais c'est un souvenir qu'il ne faut pas oublier...le progrès a amélioré la vie pour beaucoup de choses mais à trop améliorer, le risque c'est d'abîmer, de détruire, de polluer, d'empoisonner...
En photo, mon grand-père avec son dernier fils, le frère de mon papa ,qui travaillent les champs...c'est un cheval qui les tirait...hélas je n'ai pas de photo du cheval, juste son souvenir...il s'appelait "Papillon"...
Vivant dans un grand luxe, entouré d'opulence,
Dans un riche palais, un vieux roi s'ennuyait,
Sa vie était tracée depuis sa tendre enfance,
N'ayant aucun souci, c'est ainsi qu'il régnait.
-Pas le moindre conflit, pas la moindre souffrance,
J'ai tout ce qu'il me faut, ce bonheur est lassant,
Vivre toujours ainsi ce n'est point une chance,
J'aimerais pour un jour être simple manant.
Venant de temps en temps au bord d'une rivière,
Il rencontra un jour, un pauvre paysan,
L'homme l'interpella lui montrant sa chaumière,
-Pourriez-vous majesté habiter là-dedans ?
Le roi un peu surpris trouva l'idée géniale,
-Voici l'occasion de combler mon désir,
Une nuit dans ce lieu serait phénoménale,
J'en éprouve déjà un début de plaisir.
Les deux hommes avaient une même stature,
La barbe mal taillée et des cheveux tout blancs,
Leur voix avait aussi la même tessiture,
Sur presque tous les points, ils étaient ressemblants.
Echangeant leurs habits, on pouvait les confondre,
Le roi dans la masure était vraiment heureux,
Mais moins que le manant, il pouvait en répondre,
Car jamais dans sa vie, il n'avait trouvé mieux.
Quand le sire revint sur le coup de huit heures,
Aux portes du palais pour reprendre son rang,
Après avoir souffert de froid dans la demeure,
Il fut chassé dehors par ses chiens et ses gens.
Combien d'hommes heureux cherchent encor la lune,
Croyant que le voisin a plus de chance qu'eux,
Celui qui veut avoir de l'autre la fortune,
Risque de perdre tout, de devenir un gueux.
Christian Collin
Pour ne pas oublier d'apprécier ce que l'on a...
Photo personnelle...
Il est un souvenir bien ancré dans mon cœur,
Une femme adorable et pour moi la plus belle,
Durant plusieurs années elle était mon bonheur,
Chaque jour que Dieu fait je pense encore à elle.
Elle veillait sur moi m’appelant son trésor,
Sans cesse m’entourait d’une infinie tendresse,
Souriant de ses yeux elle avait un cœur d’or,
Elle était mon soleil, la joie de ma jeunesse.
Sachant anticiper mes plus profonds désirs,
Elle me comprenait et lisait dans mon âme,
Sans rien lui demander exauçait mes plaisirs,
Elle est restée pour moi la meilleure des dames.
Jamais un mot plus haut, suffisait d’un regard,
Ainsi je devenais un peu plus raisonnable,
A mon écoute aussi pourtant j’étais bavard,
Sa complaisance était vraiment inépuisable.
Près d’elle j’étais bien, je me sentais heureux,
Compensant largement la froideur de ma mère,
Elle me confiait tu es mon amoureux,
Je t’embrasse bien fort ma regrettée grand-mère.
Christian Collin
En photo, ma "Mémé"...je l'adorais...elle ne disait pas "je t'aime" comme nous maintenant à ses petits enfants, on l'appelait Mémé et non Mamie" comme aujourd'hui, elle ne pouvait pas nous acheter des cadeaux, mais chacun des moments passés avec elle, chez elle fut un cadeau de la vie...son amour était dans sa main qui prenait la mienne quand on allait garder, traire ses chèvres ou donner à ses poules...il était dans le banania du matin, dans le plat de pates et le gruyère rapé, dans son petit gateau roulé et son verre de limonade...Elle me manque encore aujourd'hui...
Brigitisis

Photo prise sur le net...
Mes amis, si vous passez un jour dans ce pays,
Prenez tout votre temps vous serez ébahis,
Vous allez découvrir de riants paysages,
Rencontrer en chemin d’étonnants personnages.
Voyez dans ce vallon, au pied de la forêt,
Ces petites maisons, ce village discret,
Approchez-vous de lui pour apprécier son charme,
Osez le pénétrer mais sans donner l’alarme.
Vous pourrez admirer ses façades en bois,
Vestiges d’un passé lorsque régnaient les rois,
Dans ce lieu enchanteur, au cœur de la nature,
Vous aurez des envies de vivre l’aventure.
Promenez-vous à pied dans les rues du hameau,
Et passez sur le pont qui enjambe un ruisseau,
Vous allez voir un banc face à une fontaine,
Occupé par un homme approchant la centaine.
Ecoutez-le parler de son ancien métier,
Un métier disparu, il était charbonnier,
Il va vous rappellera que l’art du charbonnage,
A été mis au point au temps du moyen-âge.
Il vous expliquera comment faire un fourneau,
Savoir choisir le bois, du hêtre et du bouleau,
L’empiler avec soin pour la combustion lente,
Assurer sans faiblir, la veille permanente.
Laissez-le raconter, ne l’interrompez pas,
Sa voix s’éraille un peu, soudain il se taira,
Vous le remerciez, il vous fera un signe,
Prévenez vos amis, donnez-leur la consigne.
Christian Collin
J'ai aimé cette série de poème sur les métiers d'autrefois...j'aurais aimé : le forgeron, le laboureur, le vigneron...Tant de souvenirs, d'odeurs, de couleurs à l'évocation de ces noms!
Brigitisis

chromo-typographie réalisée par le peintre suisse Ernest Bieler
Une plume sur son chapeau,
Un vieux mégot au coin des lèvres,
Souvent vêtu d’un long manteau,
Il était éleveur de chèvres.
Il était grand, sentait le bouc,
Vivait à l’écart du village,
Et ceux qui le traitaient de plouc,
Ignoraient que c’était un sage.
Il connaissait les champignons,
Chacun lui montrait sa cueillette,
Il désignait toujours les bons,
Infaillible était sa recette.
Avec le lait de son troupeau,
Il fabriquait quelques fromages,
Qu’il vendait aux gens du château,
Et à d’autres grands personnages.
On le disait un peu sorcier,
Correspondant avec le diable,
Et qu’il fallait s’en méfier,
Ce n’était que vilaine fable.
Il est mort un jour de printemps,
Près du ruisseau, dans la nature,
Il allait avoir ses cent ans,
Son souvenir toujours perdure.
Christian Collin
Dans les villages, il y a toujours eu un personnage berger ou chevrier qui paraissait un peu bizarre...
Souvent parce que c'était une personne solitaire, ou timide, qui préférait la compagnie de ses bêtes à celle des hommes, qui aimait la nature et la solitude...
On disait d'eux : "C'est un original, mais il ne ferait pas de mal à une mouche!" ...
Brigitisis
Ses mains, ses grosses mains calleuses
Sont les témoins de son travail,
Labour de terres argileuses,
Soins attentifs à son bétail.
Sa vie elle est dans ce village,
Ici, vécurent ses anciens,
Toujours le même paysage,
Pour tous ces valeureux terriens.
Ses souliers collent à la glaise,
Il est tributaire du temps,
Par les grands froids ou la fournaise,
Il est au milieu de ses champs.
Son inamovible casquette,
Ne s’abandonne qu’au coucher,
A carreaux est sa chemisette,
Il ne craint pas de la tacher.
A la bouche une cigarette,
Qu’il doit sans cesse rallumer,
Et sur son dos une musette,
Avec son vin et son goûter.
Que de rides sur son visage,
Des sillons tracés par les ans
On ne sait pas vraiment son âge,
Combien connait-il de printemps.
Que de bons sens et de justesse,
Il exprime dans ses propos,
C’est un homme plein de sagesse,
Qui doucement courbe le dos.
Christian Collin
Dédié à tous les Hommes qui travaillèrent la terre durement sans les moyens modernes, sans aide, sans moyen...dont mes deux grands-père font partie...
Brigitisis
Photo personnelle
photo prise sur le net.
On voit cet immense cratère
Creusé par d’énormes engins
Et ces falaises de calcaire
Qui plongent aux fonds des ravins.
Dans la forêt, la plaie béante
Saigne la folie de l’humain
Une atteinte bien indécente
Qui se moque du lendemain.
Où sont les chênes centenaires
Où sont partis les animaux
Victimes des hommes d’affaires
Où sont partis tous les oiseaux.
Pour du ciment on dénature
Un tel endroit favorisé
Jamais cette atroce blessure
N’aura son cœur cicatrisé.
Christian Collin
Tellement vrai...et si bien écrit...on ne peut s'empêcher de penser à ce qui se passe en Amazonie...
Brigitisis
Comme un bel océan aux vagues écumantes
Une immense forêt ondule au vent d’été
Cette masse feuillue aux vertus apaisantes
Ne peut que me donner l’envie de visiter
Je devine les troncs des hêtres et des chênes
S’élançant fièrement au-dessus de ces lieux
Et la bonne santé des érables, des frênes
De l’arbre en devenir aux rameaux ambitieux
J’imagine le calme au cœur d’une clairière
Où se glissent discrets les rayons du soleil
Je vois le doux zéphyr soulevant la poussière
Dans les petits sentiers assoupis de sommeil.

Voici un sanglier, un sujet solitaire
Il connait bien l’endroit qui regorge de glands
Une biche et son faon ont quitté leur repaire
Pour une promenade en ce jour de beau temps
J’écoute les oiseaux chanter la sérénade
Le charmant gazouillis des rus et des ruisseaux
Je surprends le renard qui s’en va en balade
Sous le regard inquiet des geais et des corbeaux.

Je distingue dans l’ombre une forme fluide
Au corps évanescent, aux longs cheveux dorés
C’est, je la reconnais, une jolie sylphide
Qui cherche une fontaine afin de s’y baigner.
Christian Collin
Belles photos prise sur le net...Merci à leurs créateurs.
Ce très beau poème de Christian Collin pour partager une promenade en forêt comme je les aime, avec vous...
Euh!!! que je sois sincère : si j'adore voir un chevreuil, une biche, un renard...j'ai chaque jour très peur de me retrouver face à un sanglier...mais avec les chiens et les chats sur mes talons, qui me devancent ou traînent, je suis tout le temps en train d'en appeler un et donc, je fais connaître ma présence et ...pour le moment, je n'ai toujours vu que leurs traces...et heureusement...car je ne sais pas s'il comprendrait que je suis pacifique pour lui...
Brigitisis.
Combien de paysans courbés par la fatigue
Marchaient dans les sillons où poussait le froment
Abreuvés de travail comme un sol qu’on irrigue
Ils ont notre respect, c’étaient de braves gens.
Se levant au soleil au temps du labourage
Ils soignaient bichonnaient leurs meilleurs compagnons
Des chevaux courageux formant un équipage
Valeureux ardennais, solides percherons.
Arpentant les terrains au moment des semailles
Geste sûr et précis, ils confiaient le bon grain
A la glèbe argileuse et au sol de pierrailles
Afin que les humains ne manquent pas de pain.
Inquiets dans les hivers de cette lune rousse
Qui provoque des froids trop vifs et ravageurs,
Ils priaient tous les saints pour que la jeune pousse
Résiste à la gelée et garde ses couleurs .
Les enfants au printemps procédaient au sarclage
Détruisant les intrus et les maudits chardons
Ainsi au mois de juin changeait le paysage
Les épis murissaient pour le temps des moissons.
Les faux étaient maniées avec beaucoup d’aisance
Quand le soleil ardent diffusait sa chaleur
La récolte des blés était la récompense
Des hommes dans l’effort inondés de sueur .
Christian Collin
Ce merveilleux poème que j'ai découvert, je le dédie à mes grands-parents aussi bien maternels que paternels. Enfant, j'ai vraiment partagé leurs rudes vies, cette crainte de la pluie qui abîme le blé, de la grêle qui détruit les vergers, les proverbes ou les dictons souvent oubliés aujourd'hui et pourtant toujours vrais......Je revois mon grand-père, mes oncles, mon papa aiguiser et manier la faux...Les moissons, ce n'était pas rien, tout le monde aidait à faire les bottes, même maman...
Images de soleil, de travail, de fatigue, d'entraide...
Cette communion avec la nature qu'ils m'ont laissé en héritage toute ma vie dans mon coeur et aujourd'hui plus que jamais dans mon choix de vie.
En photo, la petite fille, c'est moi, un peu plus grande, avec mon papa quand il allait aider ses parents le dimanche à la ferme...et là c'était le début d'une nouvelle ére : celle du tracteur qui a changé tant de choses et de façons de faire.
Brigitisis

Photo de Doisneau que j'ai gardé longtemps encadré dans mon bureau...et retrouvée sur le net.
De lointains souvenirs de ce charmant village,
Si lointains dans le temps, si proches dans mon cœur,
Je n’ai rien oublié du riant paysage,
Qui s’offrait à mes yeux, c’était un vrai bonheur.
Son clocher imposant en haut d’un promontoire,
Dominant une église où longtemps j’ai servi,
Les côtes difficiles encor dans ma mémoire,
Le calme cimetière où des miens sont enfouis.
Les rues et les trois ponts enjambant les rivières,
Et le chemin de fer, comme un cercle d’acier,
La gare et son grand quai, les multiples barrières,
Ses fermes, ses maisons et mon petit quartier.
Et l’école des garçons, où pendant sept années,
J’ai appris le calcul, l’histoire et le français,
Je voyais à travers ses fenêtres vitrées,
Le coteau et plus haut quelques buissons épais.
De lointains souvenirs de sonneries de cloches,
Qui ponctuaient le temps et les événements,
Que de bruits familiers me semblent toujours proches,
Les bidons du laitier et de longs meuglements.
Christian Collin
J'ai découvert par hasard ces poèmes de Christian Collin et je les ai mis en partage sur mon blog car je les ai beaucoup aimé. Ils font ressurgir des souvenirs de notre enfance et parle d'une vie simple...
Brigitisis