“L'amour c'est comme la guerre, facile à démarrer, difficile à finir...
et impossible à oublier.” 

Anonyme

“Le sentiment de ne pas être aimé est la plus grande des pauvretés.” 

Mère Teresa

“Le plus grand bonheur après que d'aimer, c'est de confesser son amour.” 

André Gide

"Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre,
c’est regarder ensemble dans la même direction." 

Antoine de Saint-Exupéry

“La vie ne vaut d'être vécue sans amour.” 

Serge Gainsbourg 

“Il est du véritable amour comme de l'apparition des esprits :
tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu.” 

François de La Rochefoucauld

"L’amour est la seule chose qui double à chaque fois qu’on le partage." 

Albert Schweitzer

"L’amour est la poésie des sens." 

Honoré de Balzac

"Aimer, c’est donner raison à l’être aimé qui a tort." 

Charles Péguy

"L’amour, c’est quand le temps se transforme en mémoire
et nous fait le présent d’un passé plein d’espoir." 

Yves Duteil

"L’amour est un secret entre deux cœurs, un mystère entre deux âmes." 

Byron

De belles images de beaux moments de vie avec des citations sur ce sentiment si important dans nos vies, l'amour, qui rend heureux mais qui peut faire souffrir, qui épanoui ou qui peut détruire, qui est magnifique quand il résiste au temps, aux épreuves...

Brigitisis

Je t'aime dans le temps.
Je t'aimerai jusqu'au bout du temps.
Et quand le temps sera écoulé, alors, je t'aurai aimée.
Et rien de cet amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé.

Jean d'Ormesson

Si tu savais combien je t'aime, combien tu es nécessaire à ma vie,
tu n'oserais pas t'absenter un seul moment,
tu resterais toujours auprès de moi,
ton coeur contre mon coeur,
ton âme contre mon âme.

Victor Hugo

Aimer, c'est risquer le rejet.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Risquer est une nécessité.
Seul celui qui ose risquer est vraiment libre.

Paulo Coelho

"Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler,
des racines pour revenir,
et des raisons de rester." 

Dalaï Lama

“Lorsque vous êtes amoureux l’éternité est encore trop courte." 

Anonyme

"Il n’y a rien de plus précieux en ce monde
que le sentiment d’exister pour quelqu’un." 

Victor Hugo

"Je ne sais où va mon chemin
mais je marche mieux quand ma main serre la tienne." 

Alfred de Musset

"Aimer, c’est savoir dire je t’aime sans parler." 

Victor Hugo

"Aimer sans être aimé,
c'est comme allumer une cigarette avec une allumette déjà éteinte." 

George Sand

“La haine tue toujours, l'amour ne meurt jamais.” 

Gandhi

"Il n’y a qu’un bonheur dans la vie, c’est d’aimer et d’être aimé."

George Sand

Une fête des amoureux célébrée au fil des siècles avec plusieurs origines...

J'ai aimé celle là !

Qui est le père fondateur de l'amour ?
Cupidon.
Dans la mythologie romaine, Cupidon (en latin : Cupido, inis, f qui signifie « désir, amour »), fils de Vénus et de Mars, est le dieu de l'amour.
C'est le serviteur très dévoué de sa mère comme on peut le constater dans le mythe de Psyché.

Brigitisis

"Sois sereine, seule une considération sereine de notre existence
peut nous permettre de réaliser le dessein de vivre ensemble –
sois sereine – 
aime-moi –
aujourd'hui –
hier –
quels désirs éplorés pour toi –
toi  – toi – ma vie – mon tout – adieu – 
Oh continue à m'aimer –
ne te méprends pas sur le coeur le plus fidèle de ton bien-aimé.
à jamais tien
à jamais mienne
chacun pour l'autre "

Ludwig van Beethoven ( 1770-1827  à "L'immortelle Bien–Aimée "

"...Personne au monde ne pouvait répondre plus vivement
aux plus profonds et aux plus secrets tâtonnements de mon âme.
Aucune dédicace musicale n'a jamais été aussi pleine de sens...
Cette symphonie n'est pas, en vérité, la mienne, mais la nôtre."

Piotr Ilitch Tchaïkovski ( 1840-1993 ) à la comtesse Nadejda von Meck

"...Nous étions seul à seule
et marchions en rêvant,
Elle et moi, les cheveux
et la pensée au vent.
Soudain, tournantvers moi
son regardémouvant :
« Quel fut ton plus beau jour ? »
fit sa voix d'or vivant,
Sa voix douce et sonore,
aufrais timbre angélique.
Un sourire discret lui donna
la réplique,
et je baisai sa main blanche,
dévotement.
– Ah ! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées !
Et qu'il bruit avec un murmure
charmant
Le premier oui qui sort de lèvres
bien-aimées !"

Paul Verlaine ( 1844-1896 )

"Si j'ai parlé
De mon amour, c'est de l'eau lente
Qui m'écoute quand je me penche 
Sur elle ;  si j'ai parlé
De mon amour, c'est au vent
Qui rit et chuchote entre 
les branches ;
Si j'ai parlé de mon amour
c'est à l'oiseau
Qui passe et chante
Avec le vent ;
Si j'ai parlé
C'est à l'écho

Si j'ai aimé de grand amour, 
Triste ou joyeux,
Ce sont tes yeux ;
Si j'ai aimé de grand amour, 
Ce fut ta bouche grave et douce, 
Ce fut ta bouche ;
Si j'ai aimé de grand amour, 
Ce furent ta chair tiède et tes mains
fraîches,
Et c'est ton ombre que je cherche.

Henri de Régnier ( 1864-1936 )

"Je te veux desjournées entières,
des années – l'éternité.

Robert Schumann ( 1810-1856 )

" Vous voulez que je dise ce petit mot
tout simple :
« Oui », ce tout petit mot si prodigieusement important !
Mas un coeur comme le mien, 
aussi rempli d'amour, peut-il ne pas
dire oui alors que toute mon âme
est d'accord pour le prononcer ? "

Clara Wieck ( 1819-1896 ) à Robert Schumann

"Oui ; mais pour moi vous ne 
changerez jamais,
car nous nous sommes rencontrés
dans l'Eternité,
et c'est là qu'est née notre intimité."

Nathaniel Hawthorne ( 1804-1864 ) à Sophia Hawthorne

" Belle amie, si est de nous :
Ni vous sans moi, ni moi sans vous !"

Marie de France (XII éme siècle )

" Ouvre tes yeux, je te supplie :
Mille amours logent là-dedans,
Et de leurs petits traits ardents
Ta prunelles est toute remplie.
Amour de tes regards soupire,
Et, tonesclave devenu,
Se voit lui-même retenu,
Dans les liens de son empire..."

Théophile de Viau ( 1590-1626 ) 

...Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon,
Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses.
Que ton sein m'était doux ! que ton coeur m'était bon !
Nous avons dit souvent d'impérissables choses
Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon.

...

Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses,
Et revis mon passé blotti dans tes genoux.
Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses
Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux ?
Je sais l'art d'évoquer les minutes heureuses !

Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis,
Renaîtront-il d'un gouffre interdit à nos sondes,
Comme montent au ciel les soleils rajeunis
Après s'être lavés au fond des mers profondes ?
- Ô serments ! ô parfums ! ô baisers infinis !

Charles Baudelaire ( 1821-1867 )

Je plante en ta faveur cet arbre de Cybelle,
Ce pin, où tes honneurs se liront tous les jours :
J'ay gravé sur le tronc noz noms et noz amours,
Qui croistront à l'envy de l'éscorce nouvelle.

Faunes, qui habitez ma terre paternelle,
Qui menez sur le Loir vos danses et voz tours,
Favorisez la plante et luy donnez secours,
Que l'Esté ne la brûsle, et l'Hyver ne la gelle.

Pasteur, qui conduiras en ce lieu ton troupeau,
Flageolant une Eclogue en ton tuyau d'aveine,
Attache tous les ans à cest arbre un Tableau,

Qui tésmoigne aux passants mes amours et ma peine ;
Puis l'arrosant de laict et du sang d'un agneau,
Dy: " Ce pin est sacré, c'est la plante d'Hélène. "

Pierre de Ronsard ( 1524-1585 ) Sonnet pour Hélène

J'ai  prolongé la fête des Amoureux de quelques jours en continuant les citations de ce mini livre "Lettres d'amour".
Le voilà fini...
C'était bien de s'évader un peu, de rêver avec ces superbes extraits de lettres ou de poésies qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre et de re-aimer notre belle langue française !

Merci pour le partage de ces superbes photos du Net.

Brigitisis

"Unis par le plus fort et le plus cher lien,
Et d'ailleurs possédant l'armure adamantine,
Nous sourirons à tous et n'aurons
peur de rien.
Sans nous préoccuper de ce que nous destine
Le sort, nous marcherons pourtant
du même pas,
Et la main dans la main, avec l'âme enfantine
De ceux qui s'aiment sans mélange,
n'est-ce pas?

Paul Verlaine ( 1844-1896 )

"Je ne crois qu'aux heures bleues
Et roses que tu m'épanches
Dans la volupté des nuits blanches !
Et si profonde est ma foi
Envers tout ce que je crois
Que je ne vis plus que pour toi."

Paul Verlaine ( 1844-1896 )

"Ma très chère femme bien-aimée –
en me rappelant le jour de notre mariage,
vous m'avez fait monter les larmes aux yeux ;
car malgré mon oubli de tels anniversaires,
mon coeur serait en pierre s'il ne chérissait pas le bonheur
que nous avons connu en ce jour béni...
Croyez-moi, Lizzy, ma chérie,
quand je jure que mon amour pour vous
est aussi vrai en ce moment
qu'il l'était dix-huit ans plus tôt."

Charles James Matthews ( 1803-1878 ) à Lucia Elisabeth Vestris

" Tu m'es plus cher que personne
ne l'a jamais été et ne le sera jamais...
Je ne crois pas qu'il soit possible
de concevoir un amour plus exclusif,
plus tendre, ou plus pur que celui que j'éprouve pour toi.
je pense qu'il est immortel,
une chose qui n'arrive que rarement.
...Peu de gens écriraient une lettre semblable
au bout de seize ans de mariage...
J'essaye parfois de te dire la vérité,
et je m'aperçois alors que je ne possède pas
les mots capables de la véhiculer."

Vita Sackville-West ( 1874-1963 )à Harold Nicolson

"De toute façon, je t'aime, Nora.
Je ne peux pas vivre sans toi.
J'aimerais te donner tout ce qui est à moi...
et t'en dire davantage jusqu'à ce que nous formions
ensemble un seul être jusqu'à ce que l'heure
soit venue pour nous de mourir.
Même maintenant mes yeux
se remplissent de larmes
et les sanglots s'étranglent dans ma gorge
tandis que j'écris ceci...
Sois indulgente envers moi-même
si je manque d'égards et de souplesse
et crois-moi quand je te dis
que nous serons heureux ensemble.
Laisse-moi t'aimer à ma façon.
Laisse-moi rapprocher mon coeur du tien
pour entendre chaque pulsation de ma vie,
chaque peine, chaque joie."

James Joyce ( 1882-1941 )à Nora Barnstable

"Ma chérie, tu veux savoir ce que j'attends de toi.
Beaucoup évidemment, mais surtout ceci.
Nous possédons quelque chose
et je veux que tu le gardes intact,
en attente : celui qui n'est ni toi
ni moi, mais nous."

John Steinbeck ( 1902-1968 )

"Tu me rends follement heureux
de me prendre en entier -
de me laisser être un artiste,
sans oublier l'homme...
Aucune femme ne m'a jamais accordé
tous les privilèges dont j'ai besoin-
et toi, tu m'invites
à aller de l'avant, à être moi-même,
à tout tenter.
je t'adore pour cela.
C'est en cela que tu es un vrai régal,
une femme extraordinaire."

Henry Miller ( 1891-1980 ) à Anaïs Nin

"Pour rester une nuit avec toi
je donnerais toute ma vie,
je sacrifierais cent personnes,
je brûlerais Louveciennes,
je serais capable de tout.
Ce n'est pas pour te tourmenter que je dis cela, Henry,
c'est que je ne peux pas m'empêcher de le dire,
que je déborde d'amour pour toi,
que je suis désespérément amoureuse de toi
comme je ne l'ai jamais été de personne."

Anaïs Nin ( 1903-1977 ) à Henry Miller

"Ne pense même pas aux choses
que tu ne peux pas me donner -
tu m'as fais confiance de tout ton coeur -
et cela, c'est tellement plus
que quiconque au monde ne m'a jamais donné."

Zelda Sayre Fitzgerald ( 1900-1948 ) à F. Scott Fitzgerald

"Et ni les anges du Ciel
Ni les démons des mers,
ne pourront séparer mon âme
de celle de la belle Annabel Lee...

Edgar Allan Poe ( 1809-1849 ) à propos d'Annabel Lee

Je prolonge la fête des Amoureux en continuant les citations de ce mini livre "Lettres d'amour".
Gardons un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre !
Merci pour le partage de ces superbes photos du Net.

Brigitisis

" Et langoureusement
la clarté se retire ;
Douceur !
Ne plus se voirdistincts !
N'être plus qu'un !
Silence ! deux senteurs
en un même parfum :
Penser la même chose
et ne pas se le dire.

Georges Rodenbach ( 1855-1898 )

" Oui, je sens à présent que c'est en ce soir de rêve –
que la toute première aurore de l'amour humain s'est levée sur la nuit glacée de mon esprit.
Depuis ce moment je n'ai plus jamais vu ni entendu votre nom sans éprouver un frisson partagé entre le ravissement et l'angoisse...
Pendant des années votre nom n'a jamais franchi mes lèvres,
tandis que mon âme s'enivrait, avec une soif délirante,
de tout ce qui était prononcé en ma présence à votre sujet." 

Edgar Allan Poe ( 1809-1849 ) à Sarah Helen Whitman

"Ce fut notre Éden...
je me trouvai arrachée des amarres ordinaires de la prudence.
Chaque nuit je me sentais plus totalement possédée par notre amour,
emportée à tire-d'aile sur les flots inexplorés de nos sentiments,
satisfaite de laisser le Prince diriger le navire,
insouciante de l'endroit où le voyage prendrait fin ."

Thelma Furness ( XX eme siècle ) à propos d'Edouard VIII

" Si l'on me presse de dire pourquoi je l'aimais,
je sens que cela ne peut s'expliquer qu'en répondant :
« Parce que c'était lui ; parce que c'était moi.»

Michel de Montaigne ( 1533-1592 ) à propos de la Boétie

" Le temps et l'espace et le corps,
voilà ce qui nous réunissait ; 
les fils du téléphone au moyen desquels nous communiquions."

C.S Levis ( 1898-1963 )

" Les charmes que l'amour
en vos beautez recelle,
Estoient plus que jamais
puissants et dangereux ;
Ô Dieux ! qu'en ce moment
mes yeux vous virent belle,
Et que vos yeux aussi
me virent amoureux ! "

Vincent Voiture ( 1597-1648 )

" Je viens de me livrer au jardinage, mon bien aimé...
J'avais les yeux humides comme mes fleurs, mais je ne pleurais pas.
Je relevais dans ma pensée, en même temps que dans mon jardin, toutes les fleurs ravissantes de mon bonheur passé.
Je les revoyais belles et fraîches comme le premier jour...
Tant que cette illusion a duré, j'étais presque heureuse. 
J'aurais voulu pouvoir cueillir mon âme et te l 'envoyer comme un bouquet."

Juliette Drouet ( 1806-1883 ) à Victor Hugo

" Je suis tombé amoureux de son courage, de sa sincérité,
de son sacré amour-propre et ce sont toutes ces choses
en lesquelles je croirais même si le monde entier
se laissait aller à la soupçonner de ne pas être
ce qu'elle devrait être...
Je l'aime et c'est le commencement de tout."

F. Scott Fitzgerald ( 1896-1940 ) 

" Comme vous raisonnez et philosophez sur l'amour –
Savez-vous que si on me l'avait demandé je n'aurais pu donner une raison en sa faveur –
et pourtant, tout comme vous, je le place sur un piédestal
et suis très tendrement attachée à prouver ma théorie –
adieu pour l'heure..."

Mary Shelley ( 1797-1851 ) à Percy Bysshe Shelley

"Elle a été la moitié tacite de tout ce que j'ai écrit,
et les deux moitiés de beaucoup d'autres choses..."

Robert Frost ( 1874-1963 ) àpropos d'Elinor Frost

" Aimer et chérir.
Ce fut toujours à mes oreilles une véritable musique
d'entendre mon mari me dire, avant et après notre mariage,
que j'étais la seule à laquelle il avait jamais pensé,
la seule qu'il aimait."

Mary Todd Lincoln ( 1818-1882 ) à propos d'Abraham Lincoln

Je prolonge la fête des Amoureux en continuant les citations de ce mini livre "Lettres d'amour".
Gardons un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre !
Merci pour le partage de ces superbes photos du Net.

Brigitisis

"Puis qu'au partir, rongé de soin
et d'ire,
À ce bel oeil Adieu je n'ai su dire,
Qui près et loin me détient en émoi,

Je vous supplie, ciel air, vents,
monts et plaines,
Taillis, forêts, rivages et fontaines,
Antres, près, fleurs, dites-le-lui
pour moi."

Pierre de Ronsard ( 1524-1585 ) 

"Du sentiment de la séparation
que peut-on dire
Sinon que le coeur
est une rivière d'étoiles sans fin."

Wen Ting Yun ( 813-870 )

"Je suis prisonnier ici au nom du roi ;
ils peuvent m'ôter la vie mais non
l'amour que j'ai pour vous..."

Voltaire ( 1694-1798 )

"Il y a quelques jours je pensais que je vous aimais ;
mais depuis la dernière fois que je vous ai vue
je vous aime mille fois plus..."

Napoléon Bonaparte ( 1796-1821 ) à Joséphine

" Comme je languis de fouler pour la première fois la route qui me conduira en vue de Grasmere...pour vous voir vous toucher vous parler et vous entendre parler...
Ne manquez pas de m'écrire...
Ne me décevez pas, mais donnez-moi votre coeur
afin que je puisse embrasser vos mots un millier de fois !"

William Wordsworth ( 1770-1850 ) à Mary Wordsworth

"...Tu me manques encore plus que je ne l'aurais cru ;
et je m'y étais pourtant préparée.
Cette lettre n'est donc en réalité qu'un cri de douleur. 
Il est incroyable que tu me sois devenue à ce point indispensable.
Je suppose que tu as l'habitude que l'on te dise ce genre de choses.
Que le diable t'emporte, créature gâtée ;
je ne réclamerai plus ton amour en me livrant ainsi –
Mais je suis incapable de faire preuve d'intelligence et de réserve avec toi :
je t'aime trop pour ça."

Vita Sackville-West ( 1892-1962 ) à Virginia Woolf

" N'écris pas ces doux mots que je n'ose plus lire :
Il semble que ta voix lesrépand sur mon coeur ;
Que je les vois brûler à travers ton sourire ;
Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur.
N'écris pas !

Marceline Desbordes-Valmore ( 1768-1859 )

" Vous soulagez mon coeur : vous le pénétrez d'un sentiment si tendre,
qu'il m'est doux de vivre tout le temps que je vous vois ;
mais il n'y a que la mort qui puisse me délivrer du malheur de votre absence."

Julie de Lespinasse ( 1732-1776 ) à Hippolyte de Guibert

"Mon amour, je n'ai jamais ressenti notre amour plus fort
que ce soir-là chez Les Vikings
quand vous m'avez regardée si tendrement..."

Simone de Beauvoir ( 1908-1986 ) à Jean-Paul Sartre

"Votre voix m'enlaçait comme une chère étreinte,
Et votre coeur brûlait si tranquillement beau
Qu'en ce moment, j'aurais pu voir s'ouvrir sans crainte
Les tortueux chemins qui vont vers le tombeau."

Emile Verhaeren ( 1855-1916 )

Merci Lysiane pour le beau partage de cette création
http://saperlipopette87.s.a.pic.centerblog.net/o/sermet_boite_de_coeur.gif

" ...Je découvre que vous me manquez terriblement,
et la pensée de ne pas vous voir à 'heure du champagne est aussi exaspérante que le serait au papillon la présence d'une chandelle le soir."

Alfred Duff Cooper ( 1892-1962 ) à Lady Diana Manners

En cette fête des Amoureux que je prolonge un peu, le temps de ce charmant mini livre de citations, encore un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre !
Merci pour le partage de ces superbes photos du Net et à mon amie Lysiane pour la dernière qui est une création d'elle.

Brigitisis

"Les heures que j'ai passé avec toi,
je les revois comme une sorte de jardin parfumé,
un pâle crépuscule, et une fontaine qui chante...
Toi, et toi seule, me fais sentir que je suis vivant...
Si d'autres hommes ont vu des anges,
moi je t'ai vue,
et cela m'a suffit.

Georges Moore ( 1852-1933 ) à Lady Emerald Cunard

"Livy chérie, j'ai déjà expédié ma lettre d'aujourd'hui,
mais je suis si fier de monprivilège de pouvoir écrire
à la fille la plus adorable du monde à chaque fois que j'en ai envie,
que je dois ajouter quelques lignes,
ne serait-ce que pour dire Je t'aime, Livy.
Car je t'aime, Livy – comme la rosée aime les fleurs ;
comme les oiseauxaiment le soleil ;
comme les vaguelettes aiment le vent ;
comme les mères aiment leurpremier-né ;
comme la mémoire aime les vieux visages ;
comme les marées aiment la lune ;
comme les angesaiment la pureté du coeur...

Samuel Clemens ( 1835-1910 ) à Olivia Langdon

"Dix mille oiseaux d'amour à la gorge douce et au plumage rouge
reposaient dans mon âme, dans mon jardin secret.
Là, sur dix mile branches ils dormaient.
Tu es venue et ils se sont réveillés...
l'aurore s'est levée sur eux –
une longue nuit s'est achevée.
Dieu ! Comme ils ont chanté...
ces oiseaux cherchent la liberté...
Mais je ne peux en laisser partir qu'un à la fois.
Chacune de mes lettres est une parcelle de joie
qui jusqu'alorsemprisonnée est maintenant libérée –
et qui s'envole, s'envole, s'envole !

Carl Sandburg ( 1878-1967 ) à Lilian Paula Steichen

"Quand les deux yeux fermés,
en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone."

Charles Baudelaire 

"Vos mots sont ma nourriture,
votre souffle est mon vin.
Vous êtes tout...

Sarah Bernhardt ( 1844-1923 ) à Victorien Sardou

"Je suis fou d'amour.
Mapassion est délirante.
Notre rencontre prochaine me submerge et me plonge dans l'extase.
Mes nuits et mesjours sont peuplés de scènes étranges et fascinantes...


Benjamin Disraeli ( 1904-1881 ) à Mrs Wyndham Lewis

"Dieux du ciel ! 
La raison pour laquelle je suis si jalouse de toi
est suffisamment évidente !
Si tu n'avais pas un physique aussisacrément attirant,
crois-tu que mon coeur battrait au point d'en suffoquer chaque fois...
Si tu ne te rends pas compte de ton charme...
d'autres le font...

Violet Trefussis ( 194-1972 ) à Vita Sackville-West

"Il n'y a qu'une chose qui soit plus grande que ma peur –
c'est mon amour.
Mon amour aura toujours raison de ma peur –
mais pas dans l'immédiat.
Il faudra pour cela toute la force de mon amour
et il faudra à celui-ci plusieurs jours
pour émerger de ses sombres retraites."

John Middleton Murry ( 1889-1956 ) à Katherine Mansfield

" Je vous aime depuis trois ans de tout mon coeur,
mais il me semble que je ne vous ai jamais aimé « avec mon âme », comme aujourd'hui.
Je vous aime avec toute notre vie future –
notre vie ensemble qui me semble maintenant seulement avoir pris racine, pousser et grandir sous le soleil...
Je n'avais jamais rien ressenti de tel.
En fait, je ne comprenais pas qu'une telle chose était possible."

Katherine Mansfield ( 1888-1923 ) à Middleton Murry

"Au fond de ton absence
écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel
sans y monter jamais."

Marceline Desbordes-Valmore ( 1786-1859 )

" Peut-on mourir pour trop aymer ?
Si l'on mouroit, je serois morte,
Car jamais une amour si forte,
N'a pu dans mon coeur s'allumer."

Honoré D'Urfé ( 1567-1625 )

Je prolonge la fête des Amoureux en continuant les citations de ce mini livre "Lettres d'amour".
Gardons un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre !
Merci pour le partage de ces superbes photos du Net.

Brigitisis

"Je murmure sans cesse :
«J'ai poussé cette digne jeune fille à s'abandonner»,
et je bondis de joie par-dessus le sofa."

Walter Bagehot ( 1826-1877 ) à Elisabeth Wilson

"Sans vous je n'existe pas - je ne pense plus qu'à une chose, vous revoir –
ma vie semble s'arrêter là – je n'ai pas d'autre perspective. 
Vous m'avez absorbé. 
En ce moment même, j'éprouve la sensation de me dissoudre...
Je m'étonnais que des hommes puisse mourir en martyrs pour la religion –
j'en frémissais – je n'en frémis plus – l'amour est ma religion – je pourrais mourir pour lui – je pourrais mourir pour vous.
L'amour est mon credo et vous êtes son seul principe – vous m'avez emporté avec une force à laquelle je ne peux résister."

John Keats ( 1795-1821 ) à Fanny Brawne

"Tout en vous, tout ce que je vous dois, justifie mon amour,
et rien, pas même vous,
ne pourrait m'empêcher de vous adorer."

Marquis de Lafayette ( 1757-1834 ) 

"Tes baisers, tes larmes, ton aimable jalousie,
et les charmes de l'incomparable Joséphine
rallument sans cesse une flamme vive et brûlante
 dans mon cœur et dans mes sens."

Napoléon Bonaparte ( 1769-1821 ) à Joséphine

" Je voulais te parler seulement de mon amour,
ah George, quel amour !
Jamais homme n'a aimé comme je t'aime.
Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour ;
je ne sais plus si je vis, si je mange, si je marche, si je respire, si je parle ;
je sais que j'aime."

Alfred de Musset ( 1810-1857 ) à George Sand

"Il y a  une chose dont je suis sûr, c'est que rien ne changera jamais –
que tu seras toujours aussi délicieusement chérissable –
que tu sois à moi ou non –
j'ai donné mon coeur à l'une des plus belles créatures de Dieu –
que chaque pensée et chaque souvenir de toi sera doux et agréable...
Je me suis fait le plus grand des honneurs en te donnant mon coeur."

Vachel Lindsay ( 1879-1931 ) 

" La manière dont tu abandonnes ta main dans la mienne,
mon ensorcelante amoureuse,
me remplit de bonheur.
C'est la perfection d'un amour confiant. 
Tout ce que tu fais,
et en particulier toutes ces petites choses
instinctives et inconscientes me charme,
me rapproche de toi,
et fait déborder mon coeur."

Woodrow Wilson ( 1856-1924 ) à Edith Bolling Galt

"Dites-vous donc que je n'ai de forces qu'en vous voyant ;
qu'un jour passé sans vous me brise,
que quand je ne viens pas chez vous,
c'est que je me fais une violence qui me bouleverse,
que vous êtes le ciel pour moi,
que je ne puis me passer de vous
qu'en éprouvant l'enfer tout entier."

Benjamin Constant ( 1767-1830) à Madame Récamier

"Ma Clara adorée, j'aimerais pouvoir vous écrire aussi tendrement
que je vous aime et vous dire tout le bien que je vous souhaite. 
Vous m'êtes si infiniment chère, plus chère que je ne saurais le dire. 
J'aimerais passer mes jours à vous dire des mots doux 
et à vous couvrir de compliments.
Si les choses continuent ainsi,
un jour, je devrai vous mettre sous verre ou vous sertir dans de l'or."

Johannes Brahms ( 1833-1897 ) à Clara Schumann

"Mon ange aimé, je suis à peu près fou de toi comme on est fou,
je ne puis pas accorder deux idées que tu ne viennes te mettre entre elles.
Je ne peux plus que penser à toi –
malgré moi, mon imagination me reporte près de toi, je te tiens, je te serre,
je te baise, je te caresse
et mille caresses les plus amoureuses
s'emparent de moi."

Honoré de Balzac  à Evelina Hanska

"Ô jours heureux où je pourrai à nouveau entourer
de ces bras le plus cher objet de mon amour –
où je sentirai à nouveau la pression de cette "tête dolente"
qui se fera une joie de s'appuyer sur ma poitrine,
où je pourrai à nouveau presser
sur mon coeur qui palpite de l'affection la plus pure
cet être aimé qui partage depuis si longtemps cette dévotion."

Alexander Hamilton Rice ( XIXème siècle )

En cette fête des Amoureux, un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre !
Merci pour le partage de ces superbes photos du Net.

Brigitisis

"Il y a des jours comme cela où le regard peut fixer le soleil sans être aveuglé,
je suis dans un de ces jours.
Je te vois, tu m'éblouis, tu me ravis,
et je comprends ta beauté dans toute sa splendeur.

Juliette Drouet ( 1806-1883 ) à Victor Hugo

" Je t'adore, ô ma frivole,
Ma terrible passion !
Avec la dévotion
Du prêtre pour son idole."

Charles Baudelaire ( 1821-1867 )

" Mon Dieu, je suis effrayé de voir combien ma vie est à toi !
Avec quelle rapidité elle se porte à ton coeur...
Je suis pour ce bonheur comme un enfant,
comme un savant,
comme un fou qui soigne des tulipes."

Honoré de Balzac ( 1799-1850 ) à Evelina Hanska

" Voici ma promesse, très cher,
je resterai près de toi...
Et que le vin soit doux ou amer,
nous le partagerons
et trouverons du bonheur
dans la camaraderie."

Édith Bolling Gaalt ( 1872-1961 ) à Woodrow Wilson

"Et puis voici mon coeur
qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec
vos deux mains blanches.
Et qu'à vos yeux si beaux
l'humble présent soit doux."

Paul Verlaine ( 1944-1896 ) 

"Je me sens triste quand je ne vous vois pas.
Épousez-moi, pourquoi pas ?
Et venez vivre avec moi.
Je vous rendrai aussi heureuse que je le pourrai.
Vous ne serez pas obligée de travailler dur ;
quand vous serez fatiguée,
vous pourrez vous allonger sur mes genoux
 et je chanterai pour vous...

Zadoc Long ( XIX é siècle )à Julia Davis

"Je n'aurais jamais cru qu'il pût y avoir de bonheur si complet en ce monde, 
un tel sentiment d'harmonie entre deux mortels. 
Je vous aime, dans ces trois mots tient toute ma vie."

Alexandra  ( 1872-1918 ) à Nicolas II

"Nous serons par la suite comme un animal des bois,
si proches l'un de l'autre que ni l'un ni l'autre
ne pourra dire que l'un des deux
est l'un et non l'autre.
Ne sens -tu pas mon coeur
devenir ton coeur ?

Ernest Hemingway ( 1899-1961 )

"Et maintenant écoutez-moi à votre tour.
Vous m'avez émue plus profondément
que je n'aurais jamais pu penser l'être – mon coeur a été comblé
lorsque vous êtes venu aujourd'hui.
Désormais, je suis toute à vous..."

Elisabeth Barrett Browning ( 1806-1861 ) à Robert Browning

" ...Je sens que si je pouvais me refaire,
si j'étais changé en or par exemple,
je ne désirerais même pas être plus important
que la simple monture du diamant
que vous devrez toujours porter.
La considération et l'estime
que vous m'accordez aujourd'hui,
dans cette lettre que je presse contre mon coeur 
et sur laquelle je courbe mon front,
sont tout ce que je peux prendre 
et c'est encore tropembarrassant."

Robert Browning ( 1912-1889 ) à Elisabeth Barrett Browning

"Longtemps ! Toujours !
Ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu'à mon désir tu ne sois
jamais sourde !
N'es-tu pas l'oasis où je rêve,
et la gourde
Où je hume à longs traits le vin
du souvenir ?

Charles Baudelaire ( 1821-1867 )

En cette fête des Amoureux, un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
Quelle différence avec un SMS d'aujourd'hui !!!!
Ce serait peut-être bien de reprendre les stylos et les beaux papiers à lettre !
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Brigitisis

"J'ai quelque chose de stupide et de ridicule à vous dire...je suis amoureux..."

Alfred de Musset ( 1810-1857) à Georges Sand

" Il n'y a, je pense, qu'une seule circonstance qui peut pousser les hommes et les femmes à faire l'effort de lire plus attentivement qu'à l'accoutumée.
Quand ils sont amoureux, et lisent une lettre d'amour,
ils lisent chaque mot trois fois ;
ils lisent entre les lignes et dans les marges...
Pour une fois, ils lisent vraiment.

Mortimer J.Adler (né en 1902)

" Demandez à l'enfant pourquoi il est né ;
demandez à la fleur pourquoi elle fleurit ;
demandez au soleil pourquoi il brille.
Je vous aime parce que je dois vous aimer."

Georges Upton ( 1834-1919 )

" Il faut que tu le saches.
L'amour que j'ai pour toi
Ne s'éteindra jamais.
À peine es- tu partie
Que mon coeur te réclame.
Il faut que tu le saches."

Noël Coward (1899-1973 )

"Je ne savais pas que je t'aimais 
jusqu'à ce que je m'entende
te le dire - l'espace d'un instant
j'ai pensé : "Mon Dieu, qu'ai-je dit ?"
et puis j'ai su que c'était la vérité."

Bertrand Russell ( 1872 - 1970 ) à Ottoline Morell

" On n'a pas ouvert une fois ma porte aujourd'hui, que je n'aie eu un battement de coeur : il y a eu des instants où j'ai craint d'entendre votre nom, et puis j'ai été désolée de ne pas l'avoir entendu.
Tant de contradictions, tant de mouvements contraire sont vrais, et s'expliquent par ces trois mots :
je vous aime."

Julie de Lespinasse ( 1732- 1776 ) à Hippolyte de Guibert

" Nous sommes l'un à l'autre
comme des étoiles très lointaines
Qui s'envoient leur lumière...
Vous en souvenez-vous ?
Mon coeur
Allait de porte à porte comme
un mendiant
Et vous m'avez fait l'aumône qui 
m'enrichit à jamais."

Guillaume Apollinaire (1880-1918 ) à  Madeleine Pagès

" C'est de tes yeux
que mon ardeur est née ;
C'est de leurs premiers traits
que je fus abattu :
Mais tant que tu brûlas
du flambeau d'Hyménée,
Mon Amour se cacha
pour plaire à ta vertu."

François Maynard ( 1582 - 1646 ) 

"...mais s'il vous plaît d'accomplir
les devoirs d'une véritable et loyale maîtresse et amie,
et de vous donner corps et âme à moi qui ai été et serai,
votre très loyal serviteur ( si votre rigueur ne me l'interdit pas ),
je vous promets non seulement un nom,
mais je vous promets aussi de vous prendre comme unique maîtresse,
de bannir pour vous toutes les autres de mon esprit et de mon affection,
et de vous servir vous seule."

Henri VIII  ( 1491 - 1547 ) à Anne Boleyn

"Une bonne jambe faiblira, un dos droit se courbera ; une barbe noire blanchira, une tête bouclée deviendra chauve ; un beau visage se flétrira ; un oeil vif se creusera ; mais un coeur bon, Kate, est comme le soleil...il brille intensément et ne change jamais, il poursuit sa course fidèlement.
Si tu veux un coeur comme celui-là, prends-moi ; et en me prenant, prends un soldat ; et en prenant un soldat, prends un roi."

William Shakespeare ( 1564-1616 )

" J'aime en vous votre beauté,
mais je commence à peine à aimer en vous ce qui est éternel
et sera toujours précieux : votre coeur, votre âme.
Il suffit d'une heure pour connaître et aimer la beauté,
il n'en faut pas plus pour s'en dépendre,
mais l'âme, il faut apprendre à la connaître.
Croyez-moi, rien ne s'obtient sans peine en ce monde,
même l'amour, le plus beau et le plus naturel des sentiments."

Léon Tolstoï ( 1828-1910 ) à sa fiancée, Valeria Arsenev

En cette fête des Amoureux, un peu de rêve avec ces superbes extraits de lettres qui datent des temps anciens...
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Brigitisis