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fort joli !! http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 25.11.2025
un bon froid sec et la promenade est vivifiante !! http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 25.11.2025
c est tellement joli les premieres gelees http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 25.11.2025
bonjour brigitte, je passe te faire un petit coucou avant que tu partes te faire opérer, je penserai bien à to
Par Harmony2011, le 25.11.2025
coucou bonne semaine et bon courage pour le 28
gros bisous a toutes les 2 http://lescock ersdemaryse.ce nte
Par lescockersdemaryse, le 24.11.2025
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Date de création : 13.06.2011
Dernière mise à jour :
26.11.2025
11954 articles
Un merveilleux petit moment de vie cet après-midi avec mon Tylio...
Et en 3 D !
Et tant pis pour mon âge, l'émotion était là...des rires, des sourires...
Et oui!!! Les larmes aussi ..."Incorrigible Mamie!"
En fait je vais au cinéma chaque fois avec lui donc pour des dessins animés...J'adore!!!
Bonne et douce soirée.
Nous ? ce soir on va encore se faire une soirée ciné avec un DVD : un dessin animé bien sûr! Mes beaux moments de vie ...
Zut! il aura 9 ans en janvier? Pourvu qu'il garde encore un peu son âme d'enfant quelques années!!! En fait je ne l'ai jamais perdue...
Brigitisis

L'histoire :
Rebecca est une photographe de guerre de renommée internationale.
Alors qu’elle est en reportage en Afghanistan pour suivre un groupe de femmes qui préparent un attentat suicide, elle est gravement blessée par l'explosion d'une bombe.
De retour chez elle en Irlande, pour se remettre de ce traumatisme, elle doit affronter une autre épreuve. Marcus, son mari et Stéphanie, sa fille ainée de 13 ans, ne supportent plus l’angoisse provoquée par les risques que son métier impose.

Rebecca, qui est déchirée entre les souffrances qu’elle fait subir à ses proches et sa passion de photoreporter, doit faire face à un ultimatum : choisir entre son travail et sa famille.
Mais peut-on vraiment échapper à sa vocation, aussi dangereuse soit-elle ?
Renoncera t-elle à couvrir ces zones de combats, et à sa volonté de dénoncer la tragédie humaine de son époque ?

Quelques critiques :
L'Express par Sandra Benedetti
Une jolie réflexion sur le besoin irrépressible de dénoncer les tragédies du monde, portée avec intensité par Juliette Binoche et Nicolaj Coster-Walau( Game of Thrones). Des plans superbes, quelques clichés et une poignée de scènes troublantes.
Télé 7 Jours par Isabelle Magnier
Le cinéaste norvégien Erik Poppe, ancien reporter de guerre, effleure la question de ce métier à haut risque et son éthique : peut-on tout photographier ? (...) Porté par Juliette Binoche tout en subtilité, le portrait est convaincant.
Le film lui doit beaucoup.
Gala par Camille Choteau
Le résultat est là.
On suit ce couple dans sa lutte quotidienne pour la “survie” de la famille, loin de la guerre, terrain de jeu favori de l’héroïne. Et on y croit.
Critikat.com par Vincent Avenel
Titillant la corde sensible au long de son film, Erik Poppe laisse finalement son spectateur aussi atterré que son héroïne, ramenant l’idéal romanesque dont il n’avait pas voulu se départir à portée d’un réel terrible, épuisant.
Ou comment emprunter de longs chemins de traverse pour atteindre à une vérité ample et accablante.
20 Minutes par Caroline Vié
Juliette Binoche est, comme toujours, étonnante de naturel.
La Croix par Corinne Renou-Nativel
S'il frôle parfois un certain didactisme, "L'Epreuve" impressionne par sa justesse et la finesse de ses éclairages.
Plein de souffle, il est magistralement servi par Juliette Binoche et haletant jusqu'à son saisissant dénouement.
CinemaTeaser par Emmanuelle Spadacenta
Juliette Binoche transcende littéralement un personnage aux dilemmes un peu schématiques.
Première par Laura Mayer
Dommage que la réalisation souffre du même syndrome que son sujet ; haletante lorsqu’elle montre la journaliste sur le terrain, elle flotte durant les scènes familiales.
Les séquences d’ouverture et de conclusion au sein d’un groupe de talibans préparant un attentat sont toutefois marquantes et offrent un contrepoint puissant et glaçant au reste du film.
Le Parisien par Pierre Vavasseur
Inspiré de ce qu'a vécu le réalisateur, longtemps photoreporter sur le front des conflits, ce film, démarrant et s'achevant par deux séquences absolument saisissantes, convient tout à fait à la nature d'actrice de Juliette Binoche qui aime se mesurer au drame. (...) Intense, l'ensemble a toutefois quelque chose de très (trop) carré qui muselle l'émotion.
Mon humble avis :
Un film bouleversant et dérangeant, un rôle de femme époustouflant pour Juliette Binoche qui m'a fait oublier qu'elle était une comédienne dans un film...
Pierre Vavasseur a raison : les scènes du début et de la fin démontre toute la force, la passion ou la folie qu'il faut pour faire ce métier.
Je n'ai relevé ci-dessus que les critiques qui traduisaient mon ressenti et mon émotion devant un tel film.
Brigitisis

Date de sortie 27 janvier 2016 (1h 35min)
De Andrew Haigh
Avec Charlotte Rampling, Tom Courtenay, Geraldine James plus
Genre Drame
Nationalité Britannique
Récompenses 4 prix et 12 nominations
L'histoire
Une semaine dans la vie d'un couple de retraités, sans enfants, de classe moyenne. Un cottage confortable à proximité d'un village, et d'une petite ville portuaire. Un chien, Max, berger allemand, qu'elle promène, alerte, pendant qu'il reste à lire à la maison, mal rasé, mal en point. Leur quarante-cinquième anniversaire de mariage, le samedi, doit réunir l'ensemble de leurs amis dans une salle municipale.
Ce lundi, en revenant de la promenade de Max, elle lui transmet le courrier. Une lettre le perturbe, écrite en allemand : des autorités suisses lui signifient qu'avec la fonte des glaciers, on a retrouvé le corps d'une femme, pris dans la glace, qui pourrait être une certaine Katya, disparue dans une crevasse cinquante ans plus tôt. Cela bouleverse leur couple.
Ils l'ont retrouvée ! - Mais qui ?
Il se met à lui parler de Katya, chose qu'il n'avait jamais fait, de leur excursion alpine, de leur relation. Ils se faisaient passer pour couple marié, et ils le seraient devenus, sans l'accident... Apparences et certitudes s'écroulent.Kate n'aurait-elle été qu'un double ? la jalousie se fait dévorante et destructrice surtout lorsque de vieilles photos de cette dernière randonnée, trouvées dans le grenier, révèlent le visage de Katya et suggèrent qu'elle pouvait être enceinte au moment de sa mort.
Cette nouvelle va alors bouleverser le couple et modifier doucement le regard que Kate porte sur son mari…
"45 ans", 45 ans de vie de couple, tout un chemin où la routine, les habitudes, la tendresse occupent les journées. Un film sur le temps qui passe doucement, tranquillement mais qui passe...un film sur les non-dits aussi, sur le poids du passé...
Voilà qu'arrive une lettre qui va bouleverser cette tranquilité juste une semaine avant leur anniversaire de mariage des 45 ans, qu'ils doivent fêter avec amis et voisins, juste pendant les préparatifs!
De belles critiques que je cite ici car elles sont tout à fait mes ressentis.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm-234150/critiques/spectateurs/
"Un film lent, tranquille en apparence comme l'est où pourrait l'être la vieillesse... Placer ces septuagénaires derrière la caméra et les observer à un tournant de leur vie, implique une patience, une sensibilité, ce que Charlotte Rampling réussit à transmettre merveilleusement à elle seule, car rien qu'à voir ses regards soucieux, sa façon d'étudier son mari qu'elle semble découvrir, on ressent toute cette émotion et cette fragilité de l'existence. Cet homme pourtant fatigué, moins en forme que son épouse, était-il celui que Kate pensait vraiment connaître ? Plus en retrait, plus absent, Geoffrey sous les traits de Tom Courtenay, semble plus lointain, reparti dans un passé, dans son passé bien à lui qui faisait toujours quelque part partie de son présent. " passé qu'elle ignorait!
"Ce film a ainsi le talent, la qualité de se poser, de prendre le temps pour peindre et connaître ce vieux couple, puis pour sentir et palper la naissance d'un malaise, d'une remise en question de toutes ces années suite à une interrogation, dont Kate redoutera de formuler, puis d'apprendre la réponse ! C'est ainsi que le basculement insoupçonné arrive, que Kate prend conscience de sa vraie place, celle de substitution et qu'alors l'effritement de l'édifice semble se lézarder de toutes parts... Ce qu'un simple moment, une simple photo choc va de plus précipiter !
Andrew Haigh a mis l'accent sur d'infinis détails, il a scruté ces visages, a montré leur douleur, leur peur, a façonné des paroles, des mots, des phrases qui laissent en même temps une grande part aux non-dits... Car ces deux êtres se sont-ils vraiment parlés ? Se sont-ils ouverts sincèrement leur cœur ? On peut en douter. Drame de la communication où l'essentiel reste enfoui dans l'incommunicabilité !
Un très beau film empreint de moments à fleur de peau, d'une fausse douceur, sur le cheminement d'un homme et d'une femme pas si certains de se connaître même au bout de tant d'années! Une belle réussite..."
Benoit
"Pour la femme jouée magistralement par Charlotte Rampling, cette nouvelle va provoquer, en quelques images et quelques mots, une crise de jalousie, d'angoisse en apportant dans leur vie, un éclairage qui rendra leur relation probablement impossible, ou en tout cas parasitée par la réalité d'un amour passé, caché, et dont la place va devenir omniprésente. Un très bon film
Dom Domi
Petit message au spectateur pressé, impatient, avide d’action : Passez votre chemin ! Dans ce film, on prend le temps ! On prend le temps de découvrir l’univers de Kate et de Geoff, de vivre leur quotidien rythmés par les ballades avec Max, les « cup of tea », leurs lectures au coin du feu... Le TEMPS ! Parlons-en du temps, le crachin britannique est omniprésent, le vent ne cesse de souffler et de s’infiltrer dans le joli cottage du couple situé dans la campagne grisonnante de l’Angleterre. Le décor est planté pour 1h35 d’interrogations et de non-dits avec une seule question en trame de fond : si le premier amour de Geoff n’était pas mort accidentellement, se seraient-ils, seulement aimés ? Tom Courtenay (78 ans au compteur, s’il vous plait) tient la baraque face à une Charlotte Rampling (70 ans) extraordinaire de vérité, de sensibilité, d’émotion. Sans cri, sans gesticulation, on « vit » avec elle tous ses doutes, sa douleur, la trahison par l’être tant aimé ! Le plan final, sur le visage de Charlotte, nous laisse sans voix, abasourdi dans nos fauteuils…et l’on se dit que l’on prendrait bien, nous aussi, a « cup of tea » pour nous remettre de nos émotions... En deux mots, JE RECOMMANDE !"
Emma Schell
Comme Emma, je suis restée abasourdie de ce merveilleux personnage de femme interprété par Charlotte Rampling! Une prestation extraordinaire! Superbe d'émotion, de sincérité, de vérité...
"Il pleurait dans mon coeur comme il pleuvait sur la ville." Poignant.
Brigitisis



Un après-midi avec ma petite fille Shâna et mon petit fils Tylio pour un beau moment de cinéma...Une pure merveille...

C'est tout simplement superbe...Moi, j'ai osé verser une larme...
Quelle techique pour que l'on ressente à ce point de l'émotion ...Quel travail pour arriver à un tel résultat...et avec les lunettes 3D...comme si on y était!

Petits moments de vie qui ne sont que pur bonheur...et pour petits et grands...

Brigitisis
Le réalisateur oscarisé Peter Docter nous a fait voyager dans des endroits extraordinaires, que ce soit en ballon au-dessus des nuages avec LÀ-HAUT, ou dans un monde peuplé de monstres avec MONSTRES & Cie.
Avec VICE-VERSA, il nous emmène dans un lieu encore plus fascinant : l’intérieur du cerveau humain !
Grandir n’est pas de tout repos, et la petite Riley ne fait pas exception à la règle. À cause du travail de son père, elle vient de quitter le Midwest et la vie qu’elle a toujours connue pour emménager avec sa famille à San Francisco. Comme nous tous, Riley est guidée par ses émotions – la Joie, la Peur, la Colère, le Dégoût, et la Tristesse. Ces émotions vivent au Quartier Général, le centre de contrôle de l’esprit de Riley, et l’aident et la conseillent dans sa vie quotidienne. Tandis que Riley et ses émotions luttent pour se faire à leur nouvelle existence à San Francisco, le chaos s’empare du Quartier Général. Si la Joie, l’émotion dominante de Riley, tente de rester positive, les différentes émotions entrent en conflit pour définir la meilleure manière de s’en sortir quand on se retrouve brusquement dans une nouvelle ville, une nouvelle école et une nouvelle maison.
Une belle journée avec mes petits-enfants et l'après-midi, avec cette canicule, j'ai emmené mon Tylio, 4 ans au cinéma voir "Vice versa"...
Il en a oublié de manger ses petits bonbons...Il était captivé...Lunettes 3D sur son nez bien sûr...
Passionnant, même si parfois c'était un peu compliqué pour lui les rouages du cerveau!...
On en a parlé au retour bien sûr...et il était question de cinq sentiments connus des enfants : la joie, la tristesse, la peur, le dégoût et la colère...Une belle occasion d'échanges et de dialogues, d'explications et de questions...
Film à avoir en DVD pour le revoir à la maison une soirée d'hiver...
Brigitisis
L’adaptation du livre légendaire de Saint-Exupéry est une vraie réussite de cinéma.
Adapter Le Petit prince au cinéma.
Un projet ambitieux par définition donc casse-gueule : convaincre à la fois les allergiques sévères à l’univers de Saint-Exupéry et ceux dont le bouquin, ses images et ses maximes fait partie de leur ADN (même Orson Welles voulait le faire). "L’essentiel est invisible pour les yeux", la tagline du film tirée de la bouche du Renard de Saint-Ex aurait pu être un peu gênante transposée au cinéma, art dont le sens indispensable est évidemment la vue.
Face au challenge écrasant, le film a trouvé le moyen : jouer la carte du film dans le film dans le film, des récits emboîtés.
Le Petit prince - le film raconte l’histoire d’une petite fille qui va découvrir Le Petit prince - le récit.
Deux histoires et deux moyens de la raconter et de l’illustrer.
Coincée pendant tout un été chez elle à réviser le concours d’une école de surdoués, une petite fille découvre son voisin excentrique, un vieil aviateur qui va lui donner page par page le récit du Petit prince, complet avec les illustrations indissociables du texte.
Au cœur d’un film d’animation post-Pixar superbement maîtrisé (l’universsuburbain carré et gris VS la maison tordue et multicolore de l’aviateur) se déploie l’histoire du bouquin (le renard, la rose, les astéroïdes, les interrogations sur le monde des adultes et tutti quanti) réalisée en stop-motion et en papier.
Une ambition double et une idée de cinéma sublime qui porte la marque du réalisateur Mark Osborne (rappelez-vous le stupéfiant prologue de Kung-Fu Panda).
C’est, grosso modo, le premier acte du film et ça dépasse de loin la pirouette de scénariste (souvenez-vous de Nicolas Cage dans Adaptation) car c’est au fond terrassant d’évidence : la meilleure façon d’illustrer Le Petit prince est de montrer sa dialectique entre le lecteur et l’œuvre, à quel point le livre de Saint-Exupéry -en faisant naître des images indestructibles dans un cerveau enfantin- est un vrai livre mythologique, un prisme qui permet à un enfant d’appréhender le réel à l’instar de L’Odyssée.
Dialectique narrative d’accord, mais aussi et surtout dialectique de cinéma grâce au contraste entre l’animation 3D et papier qui fonctionne brillamment (et signalons au passage l’exceptionnelle qualité du doublage français, notamment Andrea Santamaria qui fait parler le héros).
Le deuxième acte, provoqué par un événement qu’on ne révélera pas, fait basculer le film dans une histoire aventureuse et tout aussi émerveillée où l’héroïne va en quelque sorte mettre à l’épreuve sa vision de l’univers du Petit prince.
A proximité du drame final tout s’accélère et se précipite, et c'est là le gros défaut du film : il n'arrive pas à se décider à se terminer.
Sans spoiler, il y a bien quatre fins différentes et un peu paradoxales qui n'arrivent pas à conclure sur le sujet le plus puissant du métrage, le deuil.
Mais à l’arrivée, en termes de cinéma la promesse est plus que tenue : Le Petit prince grand écran a trouvé ici une sorte de forme définitive.
Sylvestre Picard (@sylvestrepicard)Présenté hors compétition au Festival de Cannes 2015, Le Petit prince sort le 29 juillet prochain en salles.
Bande-annonce :
Cinema/News-Cinema/Le-Petit-prince-promesse-tenue-4182116">http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Le-Petit-prince-promesse-tenue-4182116
Le film d'animation adapté du livre éponyme Le Petit Prince écrit par Antoine de Saint-Exupéry, se dévoile avec une première bande-annonce. Dans ce long-métrage, on découvrira la rencontre d'une petite fille, adulte avant l'âge, avec un aviateur, resté enfant dans sa tête. Le film se démarquera ainsi du roman de 1943 ; cette fois-ci, l'histoire du Petit Prince ne sera pas seulement suivie à travers le regard de l'aviateur, mais aussi de cette jeune enfant.
La crème de la crème de l'animation
Le film a été réalisé par Mark Osborne, précédemment découvert à la réalisation de Kung Fu Panda.
Pour se faire, le réalisateur a fait le choix de deux techniques d'animation : la 3D pour illustrer le monde réel, et le stop-motion [animation image par image, ndlr] pour les séquences du Petit Prince.
Par ailleurs, le réalisateur s'est entouré d'une équipe de spécialistes : Bob Persichetti, créateur des personnages de L'âge de glace et Nemo, Lou Romano, chef décorateur sur Là-Haut et Monstres & Cie, ou bien encore Jason Boose, animateur sur Ratatouille.
Un casting de voix cinq étoiles
Du côté des voix anglaises et françaises, le film a également fait le choix d'un casting cinq étoiles.
Aux États-Unis, le film regroupe les acteurs Jeff Bridges, Rachel McAdams, James Franco, Benicio del Toro, Ricky Gervais, Paul Giamatti, et Marion Cotillard.
Cette dernière figure également au casting des voix françaises, aux côtés de Florence Foresti, André Dussolier, Vincent Cassel, Guillaume Gallienne et Vincent Lindon qui ont accepté d'interpréter les différents personnages de cette adaptation.
LE PETIT PRINCE, d'après le chef d'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry.
Une merveilleuse histoire...

Un film à voir absolument.
Pour le revoir ou le voir : MYTF1 REPLAY L'EMPRISE
Pour que les mentalités changent et que les prises de conscience soient faites...
Brigitisis

Couplet 1:
Chaque nuit dans mes rêves, j’aperçois la lumière
Qui me guidera jusqu’à toi
Chaque jour de ma vie, je crois et j’espère
Qu’un jour on se retrouvera
REFRAIN :
Sans toi, ma vie n’est plus rien
Et au fond de moi mon cœur se meurt
Là-bas, penses-tu à moi, pourras-tu m'attendre, je t’en prie
Attends-moi, ne m’oublie pas
Couplet 2:
Tant de mots envolés, tant d' histoire oubliée,
Tant de fois où l’on s’est aimé
Si la vie nous sépare, nous éloigne, nous déchire
Promets-moi d'essayer encore
Refrain
Every night in my dreams
I see you, I feel you
That is how I know you go on
Far across the distance
And spaces between us
You have come to show you go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you're here in my heart
And my heart will go on and on
Love can touch us one time
And last for a lifetime
And never let go till we're one
(Lyrics on CelineDionWeb.com)
Love was when I loved you
One true time I hold to
In my life we'll always go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you're here in my heart
And my heart will go on and on
There is some love that will not go away
You're here, there's nothing I fear
And I know that my heart will go on
We'll stay forever this way
You are safe in my heart
And my heart will go on and on
Traduction :
Chaque nuit dans mes rêves
Je te vois, je te sens
C'est ainsi que je sais que tu continues (à m'aimer)
Loin au-delà des distances
Et des espaces entre nous
Tu es venu me montrer que tu continues (à m'aimer)
Près, loin, peu importe où tu es
Je crois que le coeur continue (à aimer)
Une fois de plus tu ouvres la porte
Et tu es ici dans mon coeur
Et mon coeur continuera encore et encore (à aimer)
L'amour peut nous toucher une fois
Et durer toute une vie
Et ne jamais partir jusqu'à ce que nous soyons un
L'amour c'était quand je t'aimais
Un vrai moment auquel je m'attache
Dans ma vie nous continuerons toujours (à nous aimer)
Près, loin, où que tu sois
Je crois que le coeur continue (à aimer)
Une fois de plus tu ouvres la porte
Et tu es ici dans mon coeur
Et mon coeur continuera encore et encore (à aimer)
Il y a de l'amour qui ne s'en ira jamais
Tu es ici, rien ne peut m'effrayer
Et je sais que mon coeur continuera (à aimer)
Nous resterons toujours ainsi
Tu es en sécurité dans mon coeur
Et mon coeur continuera encore et encore (à aimer)
(Traduction par CelineDionWeb.com)
J'ai vu ce film à sa sortie à Montpellier...
Un de mes films préférés...
Je me souviens qu'à la fin de la séance toute la salle s'était
levée pour applaudir...
Tant d'émotions et un miracle du cinéma d'avoir reconstituer ainsi un drame...
Je vais regarder le DVD demain...
Bonne et douce nuit
Brigitisis
Mon humble avis...
Quand le cinéma est un moment magique...J'ai envie de remercier monsieur Stéphane Brizé pour avoir fait un si beau film...Plutôt que d'en parler moi, je préfère mettre ces vidéos car personne ne peut le présenter comme la personne qui l'a réalisé...
Personnellement ce qui m'a le plus ému, c'est le relationnel entre la mère et son enfant devenu adulte, cette incapacité à se dire je t'aime entre parents et enfants, les non-dits, les blessures cachées de toutes vies, les tons qui montent malgré l'amour, les amitiés pudiques ...
J'ai aimé cette femme modeste et fière par sa pudeur dans sa simplicité, cette importance qu'elle donne à chaque geste quotidien de sa vie jusqu'au bout...ce masque de dureté qu'elle porte...Hélène Vincent est extraordinaire...une femme qu'on n'oublie pas... je voyais ma maman faire ses confitures malgré ses rayons, tenir sa maison toujours propre sans vouloir être aidé...
Personnellement j'aime aussi le thème abordé de la liberté d'avoir le choix de sa fin de vie dans les cas où plus rien ne peut être fait et je trouve personnellement anormal qu'en France nous n'ayions pas cette possibilité...qu'il faille aller en Belgique, aux Pays Bas, en Suisse..
Quand on vit les fins de vie que j'ai vécu de papa et maman, on n'est pas pour prolonger la durée du temps qui reste à vivre mais sur la qualité des derniers jours à vivre...C'est une dignité que l'on devrait pouvoir choisir...
Brigitisis

L'Histoire
Lundi matin, Paul Wertret se rend à son travail, à la banque où il est chargé d'affaires. Il arrive, comme à son habitude, à huit heures précises, sort un revolver et abat deux de ses supérieurs.
Puis il s'enferme dans son bureau.
Dans l'attente des forces de l'ordre, cet homme, jusque là sans histoire, revoit des pans de sa vie et les évènements qui l'on conduit à commettre son acte.
Mon humble avis :
Jean-Pierre Darroussin dans un rôle bouleversant d'un personnage d'aujourd'hui, très investi dans son travail et que l'on décide de casser.
On rage et on souffre avec lui...
Réalité du monde du travail implacable d'aujourd'hui avec la déshumanisation, l' arrivisme, la froideur.
J'ai beaucoup pleuré à ce film car je m'y suis retrouvée. Je n'ai pas fait de film, je n'ai pas écrit de livre, juste ce texte, maladroit peut-être mais cri du coeur...
Assez !
Travailler, travailler et ne pas s’écouter,
Rester des heures dans ce bureau enfermée,
Oublier de manger, oublier d’exister,
Et des autres l’humeur, toujours se supporter.
Etre très consciencieux, voire méticuleux,
Etre très motivé et croire en tous ceux
Qui travaillent avec vous, et les aider pourtant
Quand ils ont des soucis savoir être présent.
S’occuper de leurs cas , écouter les Clients,
Essayer d'arranger afin qu’ils soient contents
Et donner de sa vie, et donner de son temps
Sans plus se regarder…jusqu’à l’épuisement.
S’apercevoir enfin que tout cela est vain,
Que c’est chacun pour soi et son morceau de pain,
Que toutes ces pressions sont leurs avancements,
Moi je ne veux pas changer mon management :
La gentillesse, l’humanité, l’amitié,
Hier des qualités, et aujourd’hui reprochées,
Deviennent des défauts dans ce monde sans cœur
Où le mot « objectifs » doit être le bonheur !
Quand me suis-je trompée ? Je suis comme égarée.
Je veux me retrouver, être simplement vraie.
Je n’y comprends plus rien au monde de demain
Où l’homme en est rendu à devenir pantin !
Je n’ai jamais voulu trahir ce que je suis,
Pour ceux qui m’aiment ainsi et renaître pour lui,
Vivre avec mes chiens, aller sur les chemins
Dans les près, dans les champs, loin du regard humain.
le 20 Juillet 2009.
Dans le film, le personnage en vient à tuer ses "supérieurs",
Dans la vie, ils peuvent nous tuer...j'ai eu le sentiment d'être détruite...
"Je me suis totalement investi dans mon métier, j'y ai mis le meilleur de moi-même et d'un seul coup, du jour au lendemain, vous ne valez plus rien"
Moi, je rajoute : les qualités vous aviez hier et avec lesquelles vous étiez arrivé à force de travail, de sérieux, d'investissements, de mutations, deviennent des défauts.
On se retrouve trop humain !
Désolée, je ne comprends toujours pas pourquoi il faut de la déshumanisation dans le monde du travil d'aujourd'hui...Et si tous les problèmes de société actuels venaient de là?!
Brigitisis